Les BTS Communication à pied d’œuvre pour Wi’anArt #12

Depuis 2012, le Lycée Gerville Réache organise la manifestation Wi’anArt avec ses partenaires dont l’association du même nom et le soutien du programme des Cordées de la réussite (Préfecture et Rectorat de la Guadeloupe).

Chaque édition permet de promouvoir l’art contemporain auprès des jeunes, en mettant à l’honneur les artistes guadeloupéens et plus largement de la Caraïbe.
Cette année, Wi’anArt a souhaité mettre en avant Haïti et sa diversité culturelle, en rappelant les liens qui unissent Haïtiens et Guadeloupéens.
La 12ème édition sera ainsi l’occasion de découvrir deux jeunes artistes contemporains, Stephanie JEANTY et Shneider Léon HILAIRE.

En résidence pour un mois en Guadeloupe, les deux artistes haïtiens présenteront leurs œuvres originales lors d’une exposition ouverte au public au Pavillon de la ville de Pointe-à-Pitre, du 2 au 16 mars 2024, sur le thème Identités et Mémoire Collective.
Les étudiants BTS Communication de 1ère année et leurs enseignantes, Mmes Larifla et Heisel, ont élaboré les différents supports de communication (visuels, communiqué et dossier de presse et spots vidéo à découvrir ci-dessous) et seront les maîtres de cérémonie du vernissage de l’exposition le vendredi 1er mars où ils vous attendent nombreux à partir de 18h.

Carton d’invitation du vernissage de l’exposition

Stephanie Jeanty et Shneider Léon Hilaire animeront également du 4 au 26 mars des ateliers artistiques dans une quinzaine d’établissements scolaires répartis aux quatre coins de l’archipel, du Moule à Basse-Terre, en passant par Pointe-à-Pitre, Sainte-Rose, Capesterre Belle-Eau, Gourbeyre, Marie-Galante et les Saintes.

Pour faciliter la tenue des ateliers, en particulier dans le sud Basse-Terre, les deux artistes seront logés dans l’appartement invités du lycée. Nos élèves pourront ainsi aisément rencontrer les artistes et prendre part aux ateliers. De même, les collégiens de Capesterre Belle-Eau et Terre-de-Haut se rendront au lycée les 25 et 26 mars pour participer à la 12ème édition Wi’anArt et découvrir les formations et enseignements de notre établissement.


 


L’artiste visuel martiniquais Jérémie Priam en résidence au Lycée

Dans le cadre de la 11ème édition Wi’anArt, l’artiste visuel martiniquais Jérémie PRIAM est en résidence dans l’appartement du lycée du 13 au 22 novembre afin de rencontrer les élèves participants dans les établissements scolaires du sud Basse-Terre : École Félix Laban de Saint-Claude, Collège Richard Samuel de Gourbeyre, Collège et Lycée de Versailles, Lycée des Persévérants et, bien sûr, le Lycée Gerville Réache où il a débuté, lundi 14 novembre, son cycle d’ateliers artistiques avec les élèves de 1ère spécialité Arts plastiques et leur enseignant, M. GORIN.


 


Les 24 élèves de 1ères ont d’abord échangé sur la pratique et le parcours de Jérémie PRIAM avant d’expérimenter un travail sur l’ombre, le reflet d’eux-mêmes…
Il faut dire que l
e thème de la 11ème édition Wi’anArt choisi par les artistes est Corps en société, corps imaginés.

  

A partir du 23 novembre, Jérémie Priam poursuivra sa résidence en Grande-Terre avec un programme d’interventions dans une quinzaine de collèges et lycées.


Les CPGE rencontrent l’artiste Nú Barreto

En résidence en Guadeloupe du 6 janvier au 27 février 2022, dans le cadre de la 10e édition Wi’anArt, Nú Barreto sillonne les routes et part à la rencontre des jeunes collégiens et lycéens. De Sainte-Anne à Basse-Terre, en passant par Terre-de-Haut aux Saintes, il anime jusqu’au 18 février des ateliers de pratique artistique autour du thème de la Couleur dans une dizaine de collèges et lycées de l’académie.

Lundi 7 février, les étudiants CPGE 1ère année ECG (Classe préparatoire aux grandes écoles économiques et commerciales) et leurs enseignants, Mme OTVAS et M. DELORT, ont eu le privilège de rencontrer l’artiste plasticien Nú BARRETO tandis que les CPGE AL 1ère année (littéraires) ont également eu cette chance le mercredi 9 février avec leur enseignant d’histoire, M. Gilles DELATRE.

Nous vous invitons à découvrir le reportage réalisé par deux étudiantes CPGE AL1 : Corène Chango et Daena Manicor.
 

Ces deux rencontres de deux heures chacune ont été l’occasion de découvrir sa démarche artistique et ses créations, en particulier sa série de dessins et collages réalisée au cours du 1er confinement ou sa célèbre série de drapeaux “États désunis d’Afrique“.

Les étudiants ont posé de nombreuses questions et ils ont aimé “lire” ses créations parsemées de symboles propres à l’imaginaire de l’artiste : les chaises bancales à 3 pieds ou les échelles aux barreaux manquants qui symbolisent à leur manière une ascension sociale en panne, les bouteilles fermées ou les rectangles au sol symboles des restrictions sanitaires et de l’enfermement, les mains à la place des pieds ou inversement qui traduisent l’imperfection inhérente aux humains ou, comme aime à le dire l’artiste “les êtres à humaniser que nous sommes”.

Restos, 85,8 x 125,4 x 4 cm / Close, 85,4 x 126,3 x 4 cm / Rejected ! 88,8 x 126,3 x 4 cm 2021 – Collages (carton, papier, tissu), crayon céramique, pastel semi-gras, papier recyclé © Crédit photo : Bertrand Huet / Tutti image – Courtesy de l’artiste et de la Galerie Nathalie Obadia Paris / Bruxelles

Originaire de Guinée-Bissau, Nú Barreto est actuellement considéré comme l’un des artistes majeurs du continent africain.
Né en 1966 à São Domingos, dans le nord de la Guinée Bissau, Nú Barreto s’installe à Paris en 1989. Il suit une formation à l’École de Photographie AEP puis intègre l’école des Gobelins, l’École Nationale des Métiers d’Image à Paris, de 1994 à 1996.
Si le dessin s’est toujours imposé comme le médium de prédilection de l’artiste, sa pratique est résolument contemporaine, à travers des séries mixant différents médias ou de puissantes installations murales.
Choisi pour représenter son pays à l’Exposition Universelle de Lisbonne en 1998, Nú Barreto est représenté par la galerie Nathalie Obadia (Paris – Bruxelles).
Nú Barreto mène aujourd’hui une carrière internationale et incarne une figure majeure de l’art contemporain. Ses œuvres sont présentes dans de grandes collections publiques et privées telles que celle du Museo Capixaba do Negro (Mucane), de la Vitória (Brésil), de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), du musée de Macao (Chine), de la Fondation Pro-Justitiae à Porto (Portugal) ou encore de la fondation PLMJ à Lisbonne (Portugal).

Vues de l’exposition Africa : Renversante, Renversée, Galerie Nathalie Obadia, Paris, 2018 © Crédit photo : Bertrand Huet / Tutti image – Courtesy de l’artiste et de la Galerie Nathalie Obadia Paris / Bruxelles

En 2009, Nú Barreto entreprend une nouvelle série de peintures qui revisitent le drapeau américain sous les couleurs panafricaines. L’artiste y aborde une démarche nouvelle et questionne différents thèmes, notamment celui de la désunion du peuple africain. Œuvre devenue emblématique du travail de l’artiste au fil des ans, États Désunis d’Afrique est une série qui se poursuit aujourd’hui encore, avec l’objectif d’atteindre une trentaine d’œuvres. Du 8 novembre au 29 décembre 2018, était présentée à la galerie Nathalie Obadia une déclinaison de neuf œuvres au sein de l’exposition Africa : Renversante, renversée.
En reprenant la structure du drapeau américain et en faisant référence à l’American Flag de Jasper Johns (1954-1955), Nú Barreto s’inscrit dans une lignée d’artistes qui utilisent la puissance visuelle du symbole afin de mettre en exergue des questions sociétales.

Du 15 avril au 12 juin 2021, l’exposition L’imparfait et l’impératif présentait un ensemble de nouvelles œuvres sur papier recyclé, convoquant aussi bien le dessin que le collage, ainsi qu’un polyptyque de 42 dessins, que l’artiste conçoit comme le carnet de bord de ces derniers mois de pandémie. Saisissante démonstration d’une verve graphique au service d’une vision âpre, ces œuvres expriment autant sur les souffrances du peuple africain que sur la condition humaine, à travers le thème de l’enfermement. De son pays natal, ancienne colonie portugaise, Nú Barreto garde le souvenir d’une éprouvante marche vers l’indépendance puis d’une instabilité politique et militaire ponctuée de nombreux coups d’état. L’artiste porte aujourd’hui un regard lucide et acerbe sur la situation actuelle de la Guinée-Bissau, où ne cessent de s’accroître les disparités socio-économiques. Plus largement, c’est toute la complexité des enjeux qui déterminent les relations entre les différents États africains et l’Occident qui transparaît, sous la forme figurée, à travers la représentation de ses « homos imparfaits ».


Atelier Wi’anArt des 2nde7 avec Yelow

Jeudi 13 janvier, les 2ndes 7 option Arts plastiques et leur enseignante, Mme Beaujour, ont reçu le street-artist YELOW (Cédric Tran Ngoc), dans le cadre de la 10ème édition Wi’anArt.


L’atelier de pratique artistique était placé sous le signe du portrait, caractéristique des œuvres de l’artiste Yelow. 
Les élèves ont revisité en particulier le portrait de Maryse Condé ou celui de Michelle Obama, à l’aide de symboles et d’un travail sur les couleurs.

Présentation de l’artiste Yelow


Atelier Wi’anArt avec So Aguessy Raboteur

Vendredi 7 janvier, de 14h à 17h,  les 1ères spécialité Arts plastiques et leur enseignant, M. Gorin, ont reçu l’artiste guadeloupéenne So Aguessy Raboteur, dans le cadre de la 10ème édition Wi’anArt. 3
Après un temps de rencontre et d’échanges autour du travail de l’artiste qui croise peinture sur toile et outils numériques, les élèves ont pris part à un atelier de pratique artistique sur le thème de la couleur.

Présentation de l’artiste So Aguessy Raboteur


Atelier Wi’anArt pour les 2nde 7 avec l’artiste Kamun

Mercredi 24 mars, les élèves de 2nde 7 option Arts plastiques et leur enseignant, M. Christophe GORIN, ont poursuivi la 9ème édition Wi’anArt en recevant l’artiste David CERITO alias KAMUN pour 3 heures d’atelier, de 10h à 13h, après avoir reçu en octobre 2020 Chantaléa Commin.

 

La première heure a été l’occasion de découvrir la pratique artistique de Kamun et son parcours personnel.

Né en 1978 à Paris et originaire de la Guadeloupe, l’artiste Kamun aime se définir comme un Africain de la Caraïbe, un déraciné en quête de lui-même, de son Histoire. Il est titulaire d’une Licence en Arts Plastiques de l’Université de Paris 8 (Saint-Denis), et d’un certificat préparatoire en Infographie 2D de l’école Itécom Art Design (Paris). Passionné par l’Image, il se définit comme un artiste numérique et il travaille majoritairement avec les nouveaux médias. Sa démarche se veut sociale, être proche du public et de ceux qui sont éloignés de l’univers culturel en les questionnant sur leurs environnements.

Au terme de cette première partie, les élèves ont pris part à un atelier de pratique artistique autour du thème de la 9ème édition Wi’anArt : Jardin Social (photos ci-dessous).

   

   


Inauguration de la sculpture BAOBAB à Basse-Terre

Jeudi 22 avril 2021, la sculpture monumentale intitulée BAOBAB a été inaugurée sur l’esplanade de Guadeloupe Port Caraïbes, à proximité de l’Office du Tourisme et de la Mairie de Basse-Terre.
BAOBAB est une œuvre collaborative de l’artiste guadeloupéen Jean-Marc HUNT qui a représenté la Guadeloupe en 2019 à la Biennale de Venise, la plus grande manifestation d’art contemporain au monde, associant les dessins et peintures des élèves de 7 établissements scolaires de Basse-Terre et environs, dont le Lycée Gerville Réache, organisateur de l’opération avec l’association culturelle Wi’anArt.

L’inauguration a été menée par le Maire de Basse-Terre, André ATALLAH et son équipe, en présence de représentants des différents partenaires : François DERUDDER (Directeur des Affaires Culturelles, Ministère de la Culture), Viviane FRANÇOIS-JULIEN (Directeur de la Communication et des Relations Institutionnelles Guadeloupe Port Caraïbes) et Brigitte RODES (Présidente de la commission « Culture » du Conseil départemental). Des élèves de l’école Mélanie Milly, du collège Richard Samuel et du lycée de Versailles ont également pu assister à l’inauguration, malgré le contexte sanitaire.

Inauguration de la sculpture sur l’esplanade de Guadeloupe Port Caraïbes, à proximité de l’Office du Tourisme et de la Mairie de Basse-Terre.

La sculpture monumentale BAOBAB

Comme son nom l’indique, la sculpture représente un arbre qui prend la forme d’une main ouverte saluant ses visiteurs à l’entrée de la ville. La sculpture est recouverte d’une multitude de mains peintes par les enfants de Basse-Terre et ses environs. 5 écoles, collèges et lycées ont ainsi participé à la fabrication de l’œuvre, sous la conduite de l’artiste, qui a ensuite marouflé leurs dessins sur la « peau » de la sculpture afin d’apporter du mouvement, de la couleur et la fraîcheur propre à la jeunesse Basse-Terrienne.

La symbolique de l’arbre est également importante. Elle marque la volonté de redonner aux végétaux toute leur place dans l’espace public, à l’heure où la végétalisation des centres-villes est de plus en plus pratiquée pour limiter les zones de chaleur.

L’artiste a également souhaité dédier cette sculpture à la mémoire de Gervaise Zélateur, morte récemment dans un tragique accident de la route. Figure très active dans le monde associatif et artistique, Gervaise Zélateur aimait à dire : « Je souhaite que chaque Guadeloupéen plante un arbre ».

Nous vous invitons à découvrir le reportage réalisé par NEWS ANTILLES


Les objectifs du programme Mobilités actives et Valorisation du patrimoine dans la ville de Basse-Terre

« Baobab » est la 1ère réalisation d’une série à venir en 2021 dans la ville de Basse-Terre, dans le cadre du programme « Action cœur de ville » et d’une démarche partenariale associant les services de la Mairie, la Région, le Département, l’État, le Grand Port maritime, les établissements scolaires de la conurbation et l’association culturelle Wi’anArt.

La finalité de ce programme est d’améliorer le cadre de vie et de redynamiser le centre-ville par la promotion de la marche à pied et du vélo. Les réalisations mises en place dans les prochains mois dessineront en effet un parcours dans la ville qui mènera les promeneurs jusqu’au quartier du Carmel et aux abords du Fort Delgrès. L’objectif est de créer des points d’intérêt le long de ce parcours qui valorisent le patrimoine artistique, architectural et historique de la ville.

Parmi les réalisations prévues le long du parcours, citons notamment le projet d’une mosaïque sur l’escalier du Passage des marches par l’artiste Henri HILAIRE, le projet d’une promenade le long de la Rivières aux herbes sur le thème des rimèd razié avec l’artiste de land-art et éco-designer Guy GABON, un parcours photographique sur la ville et son architecture, une série de panneaux historiques dans le quartier du Carmel, des témoignages sonores sur la vie an tan lontan rendus accessibles par QR-Code…

Les jeunes Basse-Terriens sont et seront systématiquement associés à toutes ces réalisations. Cela est essentiel à la réussite de ce programme car les jeunes participent ainsi à la ville de demain, en apportant leur propre vision, en se réappropriant l’espace public et en construisant une ville plus harmonieuse et durable.


Atelier Wi’anArt pour les 2nde 7 avec Chantaléa Commin

Mercredi 7 octobre, les élèves de 2nde 7 option Arts plastiques et leur enseignant, M. Christophe GORIN, ont débuté la 9ème édition Wi’anArt en recevant l’artiste Chantaléa Commin pour 3 heures d’atelier, de 10h à 13h.

La première heure a été l’occasion de découvrir la pratique artistique de Chantaléa Commin et son parcours personnel : Née en Guadeloupe, de parents agriculteurs dans le Nord de la Grande-Terre, Chantaléa est partie à Paris au début des années 90, avec son BAC en poche décroché à Baimbridge. Elle y restera pendant 25 ans : Après des études d’Esthétique, de littérature et de cinéma expérimental à l’université Paris I – Sorbonne, une formation en arts plastiques mais également en Créa/infographie pour l’édition musicale underground à Boulogne-Billancourt, elle collabore à plusieurs manifestations artistiques depuis “Art dans la ville” à Bagneux en 1993, résidences artistiques notamment au Sénégal en 2005, voyage initiatique, camera au poing. Elle décide de revenir au pays Guadeloupe en 2011 pour se consacrer entièrement à son art.

Les élèves ont ainsi pu découvrir sa démarche artistique née de son histoire personnelle et de ses rencontres humaines et artistiques. L’un de ses enseignants par exemple n’était autre que Michel Journiac, artiste célèbre et emblématique de l’art corporel français, à qui on doit notamment la performance intitulée Messe pour un corps qui a fait grand bruit en 1969.

L’œuvre de Chantaléa Commin est protéiforme : Peinture, installation, infographie, vidéo artistique…


Au terme de cette première partie, les élèves ont pris part à un atelier de pratique artistique autour du thème de la 9ème édition Wi’anArt : Jardin Social.
Les élèves ont d’abord planché sur le jardin créole et ses différentes composantes, pour imaginer à travers une création en stop motion une vidéo d’animation mettant en scène les plantes médicinales capables de guérir bien des maux / mots… (photo ci-dessous).

 

 


Wi’anArt 9ème édition, c’est parti !

La 9ème édition Wi’anArt 2020-2021 se fera avec les deux artistes Chantaléa Commin et Kamun.

Ils ont choisi de développer le thème Jardin Social qui servira de fil conducteur aux ateliers de pratique artistique avec les élèves.
Jardin Social donnera également son titre à l’exposition finale qui se tiendra à la Souvenance, Centre caribéen d’Art et de Culture André et Simone Schwartz-Bart à Goyave, courant avril – mai 2021 (lieu et dates sous réserve de modification).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous vous invitons à découvrir le dossier de présentation en ligne

 


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Atelier Wi’anArt avec la photographe Anaïs C.

Dans le cadre de la 8ème édition Wi’anArt sur le thème Identités, la photographe Anaïs C. est intervenue le lundi 2 décembre auprès des élèves de Terminales option de spécialité Arts Plastiques et leur enseignant, M. Christophe Gorin.

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Après l’atelier avec Cédrick-Isham Calvados le lundi 4 novembre, la rencontre a été l’occasion pour les élèves de découvrir le travail photographique d’Anaïs C. dont sa série de portraits inspirés du personnage emblématique du conte créole, Manman Dlo, et celle prise lors du Carnaval sur l’île de Grenade.

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Au terme d’une heure d’échanges environ, les élèves ont pris part à un atelier de pratique artistique en bénéficiant des conseils de la photographe.
Certaines réalisations des élèves seront exposées lors de l’exposition de restitution Wi’anArt qui se tiendra courant mai à la Souvenance, Centre caribéen d’art et de culture André et Simone Shwarz-Bart, située à Goyave.