Concours d’éloquence du LGR : le palmarès de la 4ème édition

La finale de la 4eme édition du concours d’éloquence du LGR a eu lieu mercredi 12 mars de 9h à 12h.

Après une demi-finale en salle de théâtre, le 15 janvier, la finale du Concours d’éloquence s’est tenue dans la salle de délibération de la Mairie,  lancée par André Attalah,  Maire de Basse-Terre en partenariat avec les services de la Préfecture Guadeloupe dans le cadre des Cordées de la Réussite.

De gauche à droite : Mme Kuessan, M. Xarrié, Mme Baltzer, Mme Placide, M. Atallah, Mme Isidore, Mme Lucol et Mme Mender

Le jury était composé de Mmes Isidore-Agnesa (Proviseure Adjointe), Placide Ingrid (Déléguée du préfet à la politique de la ville pour l’arrondissement de Basse-Terre), Mme Mender Aurélie (professeur de lettres et de théâtre), Mme Baltzer Angélique (professeur de lettres), Mme Lucol Gillian (étudiante en CPGE AL 1 et lauréate du concours 2023-2024) et M. Xarrié Laurent (professeur documentaliste, référent Culture et Cordée de la réusssite). Après le discours inaugural de Gillian Lucol, les finalistes du pré bac ont délivré de très belles prestations.

L’élève de Première Chelsy FALA  a reçu le 1er Prix, une très belle tablette numérique, grâce à son discours émouvant  autour de : “Est-il toujours possible de trouver les mots justes”, suivie de Krysta MOBETIE (Terminale), 2ème Prix (discours autour de la différence) et enfin Eloïse BECHETOILLE (Seconde), 3ème Prix (discours engagé sur les rapports homme/femme). Canel VALEY (Seconde) a remporté le Prix spécial du jury grâce à son discours sur la parentalité, témoin d’une  grande maturité.

Les étudiantes de Post-bac ont poursuivi avec la lauréate du 1er Prix : Faïka JOSEPH en BTS SAM 1 et son discours sur le mensonge, Kessie MALBOROUGT en CPGE AL1, 2ème Prix (Discours sur l’échec, mythe ou réalité) et Louthiana SOUFFRANT BTS SAM 1  qui a obtenu le 3ème Prix (sur le thème de faut-il prendre la parole?). Clarisse PERRET en CPGE AL1 s’est vu décerner le Prix spécial du jury avec le discours peut-on rire de tout ?

Tous les candidats finalistes et membres du jury

Les autres candidats n’ont pas démérité et ont été jusqu’au bout de la démarche. Un grand bravo à tous les participants qui ont su s’investir dans ce concours dont le niveau était encore une fois très relevé.
Deux candidats se préparent d’ores et déjà pour le Concours académique Félix Eboué, qui pourra leur donner une nouvelle fois l’occasion de briller par leur éloquence au mois de juin au Mémorial ACTe.

Les éco-délégués s’engagent pour une meilleure gestion des déchets

Jeudi 16 janvier, avec le soutien du Rectorat, du Conseil Régional, de la DEAL Guadeloupe, du Ministère de la Culture et de la Mairie de Basse-Terre, les éco-délégués ont inauguré de nouveaux bacs de tri sélectif pour la collecte des bouteilles en plastique et les cannettes au sein du lycée.
Quatre bacs au total ont été réalisés par l’artiste Henri HILAIRE. Trois bacs en forme de papillon ont été installés à l’entrée du lycée, dans la cour d’honneur et à proximité du camion de restauration tandis que le quatrième bac, en forme de double panier de basket, a pris place entre la MDL et le plateau sportif.
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Le 1er bac de tri sélectif installé à l’entrée du lycée

 


 

Lors de la récréation de 10h, deux éco-délégués Tamisha Glorieux Thicot (SEC1) et Jade Joye (TG8) ont expliqué le fonctionnement des bacs avant d’animer un quiz sur le thème de la gestion des déchets.

Chaque bonne réponse permettait de gagner une des 4 gourdes isothermes, l’objectif étant de véhiculer le message suivant :

Utilisez une gourde isotherme plutôt qu’une bouteille plastique car le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas

En parallèle de cette inauguration, le lycée a affiché sur son mur d’enceinte extérieur le visuel créé par les élèves de l’option Tremplin en 2024 pour lutter contre le dépôt sauvage de déchets.
L’objectif ici est de sensibiliser la population et d’inciter à agir différemment, en commençant par acheminer ses déchets dans les centres de tri comme la déchetterie de Baillif ou celle de Capesterre Belle-Eau.
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Campagne d’affichage contre les dépôts sauvages de déchets


Lancement du concours sur la mobilité durable

En vue de la Semaine Européenne de la Mobilité qui se déroulera du 16 au 22 septembre 2025, la DEAL (Direction de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement), le Lycée Gerville Réache et leurs partenaires souhaitent sensibiliser les jeunes aux enjeux de la mobilité durable, en proposant un concours avec 3 objectifs distincts :

  1. Un concours de création d’un visuel (dessin, image numérique ou photo)
  2. Un concours de création d’un slogan destiné à être associé au visuel
  3. Un concours de création d’un spot radio

Le visuel, le slogan et le spot radio lauréats seront intégrés aux supports de communication de la DEAL Guadeloupe et de ses partenaires pendant la Semaine Européenne de la Mobilité du 16 au 22 septembre 2025.

Ce concours est ouvert aux collégiens et lycéens ainsi qu’aux étudiants âgés de 24 ans maximum scolarisés dans l’Académie de la Guadeloupe.

Entre le 20 janvier et le 17 avril 2025 minuit, les participants envoient par mail à l’adresse concours.mobilite.durable@gmail.com la création visuelle, le slogan ou le spot radio réalisés par leur soin.

Nous vous invitons à prendre connaissance du Règlement ci-contre


Le lycée lance la 4ème édition du concours d’éloquence

Dans le cadre du programme des Cordées de la réussite, une équipe d’enseignants du Lycée (Lettres, Théâtre et Documentalistes) lance la 4ème édition du concours d’éloquence.
Ce concours est ouvert à tous les élèves et étudiants scolarisés au sein du lycée Gerville Réache (cf. Règlement ci-dessous).

La participation se fera selon 2 catégories distinctes, avec 8 candidats minimum par catégorie :

  • Une catégorie pour les élèves de pré-BAC (2nde, 1ère et Terminale)
  • Une catégorie pour les étudiants post-BAC (BTS et CPGE)

3 Prix seront décernés pour chacune des deux catégories du concours (élèves et étudiants) à l’issue de la finale prévue le mercredi 12 mars 2025.

L’inscription se fait au CDI jusqu’au vendredi 20 décembre inclus.

L’étudiante CPGE AL 1ère année, Gillian LUCOL, a souhaité adresser un message d’encouragement à tous nos élèves
Après avoir reçu le 1er Prix du Concours d’éloquence à l’issue de la 3ème édition, Gillian y voit l’occasion d’un très bon entraînement aux épreuves orales.

Message de Gillian en cliquant ICI ➡


Gerville solidaire – Collecte de jeux et jouets du 2 au 13 décembre

Les éco-délégués organisent une collecte solidaire de jeux et de jouets au sein du lycée du 2 au 13 décembre 2024, en partenariat avec La Kabwèt a Jé, SOS Sans Abri et l’association d’aide aux ultramarins RUDN.

Du 2 au 13 décembre, vous êtes invités à déposer vos dons de jeux et jouets en excellent état :

  • En salle 8 pendant les récréations du matin
  • ou au CDI aux horaires d’ouverture

L’ensemble des dons collectés sera remis à nos partenaires avant les fêtes de Noël

NOUS COMPTONS SUR VOTRE GENEROSITE POUR AIDER A LA REUSSITE DE CE PROJET SOLIDAIRE.


Deux journées de master class pour les CPGE AL1 avec Malaury Eloi-Paisley

Dans le cadre du programme des Cordées de la Réussite, la réalisatrice guadeloupéenne Malaury ELOI-PAISLEY a animé deux journées de master class les 18 et 20 septembre, à destination des CPGE A/L1, sous l’impulsion de leur enseignant en Histoire, M. DELATRE, et l’équipe du CDI.

La master class a débuté par la projection de son film L’Homme-Vertige (93′) à laquelle ont également pu assister les étudiants de 2ème année. Les deux journées ont été consacrées à une découverte du cinéma du réel, des exigences de la démarche documentaire mais aussi du parcours personnel de la cinéaste. En clôture, la réalisatrice a proposé aux étudiants un exercice pratique avec prises de vue dans ou autour du lycée, dans le quartier du Carmel.

Nous vous invitons à lire ci-dessous le compte-rendu de l’étudiante Clara MIRVAL, CPGE A/L 1 :

L’art peut changer le monde » affirme Malaury Eloi Paisley réalisatrice guadeloupéenne. Les mercredi 18 et vendredi 20 septembre, Madame Eloi Paisley a en effet donné une master class aux étudiants d’hypokhâgne (première année de CPGE littéraire) à partir de son film L’Homme vertige (2024), plusieurs fois primés et pour lequel elle a consacré cinq années de sa vie. Elle n’a eu de cesse, sur ces deux journées, de partager avec nous sa passion pour le cinéma, mais aussi, son sens de la création.

L’idée de créer artistiquement est née d’un questionnement silencieux, d’un besoin de traduire un sentiment qu’elle ressentait. Elle n’a pu identifier et comprendre vraiment ce qu’elle voulait transmettre qu’en voyageant à l’autre bout du monde. Voir en face la souffrance des peuples autochtones d’Australie, de Nouvelle Zélande et de Nouvelle Calédonie en proie aux effets du capitalisme et du tourisme de masse, a attisé la flamme de sa créativité, et le choc ressenti fut tel qu’il l’obligea à réaliser un film.

Ne pouvant plus faire demi-tour, elle décida alors de filmer la Guadeloupe, qu’elle qualifie « d’endroit où l’on fait semblant pour coller à sa propre personne ». L’Homme vertige est le reflet du for intérieur de Malaury, d’un point de vue différent, porté peut-être par sa maladie chronique. Elle filme des corps malades, dans une ville abimée. Cette œuvre nous fait l’étalage des conséquences de notre histoire, face à la névrose héritée de l’esclavagisme et du colonialisme. Nous suivons la vie des sans-abris de Pointe à Pitre et de ceux dont l’habitat est inexorablement détruit, remplacé. L’absence de voix-off nous laisse seuls face à nos pensées, nos questionnements, leur mal être.

La réalisatrice ne prétend pas avoir changé la vie des différents protagonistes, ni même de leur avoir rendu leur dignité avec son film, mais elle a au moins franchi le pas, en initiant le contact avec empathie, bienveillance et parfois admiration pour des gens dont la vie est d’une difficulté infinie. Elle nous a demandé de faire de même. Il est essentiel de regarder en face la misère autour de nous, et de reconnaître l’errance caractéristique que nous partageons dans les anciennes colonies françaises.

Parmi les nombreuses sources d’inspiration de l’autrice, on retiendra notamment en littérature : Aimé Césaire, Maryse Condé ou encore Simone Schwarz-Bart.

Madame Eloi Paisley nous a laissés sur l’important conseil que voici : « Il faut créer avec raison, créer pour soi d’abord, pour que cela fasse sens pour l’autre ensuite.


Concours photo académique Biodiversité (in)visible

 

Le Lycée Gerville Réache est heureux d’organiser la 8ème édition du concours photo académique Art of change, en partenariat avec l’association Wi’anArt et avec le soutien du Rectorat de la Guadeloupe, le Ministère de la Culture, la DEAL Guadeloupe Ministère de la Transition écologique et le Conseil Régional.

Le thème mis à l’honneur cette année est : LA BIODIVERSITE (IN)VISIBLE

Ce concours photo qui s’adresse aux élèves et étudiants de 6 à 24 ans scolarisés dans l’académie de la Guadeloupe est une invitation à observer la nature qui nous entoure. Il nous invite à ouvrir grands les yeux sur le vivant pour mieux en apprécier la diversité et les richesses, tout en donnant envie de les préserver et de les respecter.

Cette 8ème édition souhaite mettre à l’honneur la biodiversité visible, celle qui se pare de couleurs vives pour attirer le regard, mais aussi la biodiversité qu’on nomme invisible. En dehors des stratégies de camouflage pour se fondre dans la nature, la bidodiversité dite invisible représente pourtant une part très importante en nombre d’espèces et de variétés dans l’éventail de la biodiversité mais par manque de visibilité, par méconnaissance ou en raison d’une apparence peu flatteuse, elle reste dans l’ombre ou mal aimée du grand public.
Les élèves et étudiants ont jusqu’au 16 février 2025 pour envoyer leurs photographies par mail à concours.photo.wianart@gmail.com, comme mentionné dans le Règlement du concours ci-dessous :

Master class Difé Kako mai 2024 – Retour en images

A l’occasion du Festival Patrimoines en lumières organisé par la Mairie de Basse-Terre, en partenariat avec le Lycée Gerville Réache, nous avons organisé une master class de danse avec la Compagnie Difé Kako et un groupe d’élèves volontaires de 2nde, le jeudi 2 et vendredi 3 mai 2024.

Cette master class fut l’occasion d’un formidable travail au lycée avec des professionnels de la danse et musique afro-antillaise, avec l’objectif ultime de se produire en public.

Deux représentations publiques intitulées “Bakannal an la ri” ont pu ainsi avoir lieu avec les élèves : une dans la cour d’honneur du lycée le vendredi 3 mai à 12h et une au Fort Louis Delgrès à partir de 18h15.

Retour en images sur ces beaux moments de partage et de créativité en cliquant ICI ➡ Reportage BAKANNAL AN LA RI


Exposition Wi’anArt “Identités et Mémoire collective” jusqu’au 14 juin

Depuis maintenant 12 ans, le Lycée s’associe avec le Collège Richard Samuel et l’association Wi’anArt pour organiser la manifestation du même nom qui vise à promouvoir les artistes contemporains de la Caraïbe auprès des élèves du secondaire dans l’Académie. Depuis 2012, Wi’anArt, grâce à un programme d’ateliers en milieu scolaire et d’expositions ouvertes au public.
Cette année, pour sa 12ème édition, la manifestation met à l’honneur Haïti et sa diversité culturelle, avec les artistes Stephanie JEANTY et Shneider Léon HILAIRE.

Après une exposition inaugurale qui s’est tenue au Pavillon de la ville de Pointe-à-Pitre du 2 au 16 mars, avec le concours des étudiants BTS Communication 1ère année, les ateliers se sont déroulés dans une quinzaine d’établissements scolaires durant la résidence des deux artistes, dont bien sûr le Lycée Gerville Réache où les élèves de 2nde option Arts plastiques ont accueilli les deux artistes.Du 18 mai au 14 juin 2024, une sélection des productions artistiques des élèves est présentée aux côtés d’œuvres originales des artistes, Stephanie JEANTY et Shneider Léon HILAIRE, dans le cadre de l’exposition de restitution finale à la Médiathèque Ernest J. Pépin de Lamentin. Les élèves de 2nde ont pu visiter l’exposition le mercredi 29 mai avec leur enseignant d’arts plastiques, M. GORIN.

L’émergence d’un art haïtien contemporain de qualité

L’art naïf est la forme artistique ayant permis une reconnaissance internationale de l’art haïtien, avec des créations prisées par les plus grands musées, œuvres d’artistes tels que Hector Hyppolite, Robert Saint-Brice, Rigaud Benoît ou Castera Bazile.
Depuis les années 70, l’art haïtien s’est renouvelé et de nouvelles personnalités artistiques ont émergé, révélant des talents indéniables au sein de cette société dont la situation économique et sociale classe le pays parmi les plus défavorisés au monde. Citons l’école de Saint-Soleil, les artistes Hervé Télémaque, Stevenson Magloire, Frankétienne, Frantz Zéphirin ou Mario Benjamin.
Aujourd’hui, les jeunes artistes Stephanie Jeanty et Shneider Léon HILAIRE sont des figures de proue de la scène contemporaine haïtienne.

Identités et Mémoire Collective – Note d’intention des artistes Stephanie Jeanty et Shneider Léon Hilaire

“La mondialisation a façonné de manière significative nos sociétés et nos vies personnelles. Alors que les frontières géographiques s’estompent et que les cultures interagissent de plus en plus, nous nous trouvons face à une crise identitaire profonde et complexe. Les individus et les communautés sont confrontés à des défis pour préserver leur identité culturelle et leur mémoire collective dans ce contexte en constante évolution. Notre démarche en tant qu’artistes sera d’explorer les racines profondes de nos identités individuelles et collectives, tout en nous permettant de réfléchir sur la manière dont la mondialisation influence ces identités.
Ce projet artistique ne se limite pas à de simples tableaux ou à des performances. En tant qu’espace d’expression créative et de réflexion critique sur les enjeux auxquels nous sommes confrontés, ce projet devient un moyen de dialogue, de compréhension et de préservation de notre patrimoine culturel. Il s’agit d’un témoignage de notre époque, une exploration des liens entre notre passé, notre présent mondialisé et notre avenir, tout en mettant en lumière l’importance cruciale de préserver notre mémoire collective et notre identité face à ces défis contemporains.
A travers nos différentes pratiques artistiques, nous souhaitons inviter le public guadeloupéen et les jeunes collégiens et lycéens à s’interroger sur leurs origines, leurs pratiques religieuses, leurs histoires personnelles et collectives.”


Masterclass d’écriture théâtrale avec Magali Solignat

Le jeudi 1er et vendredi 2 février, la comédienne, autrice et metteuse en scène Magali SOLIGNAT a animé 2 jours de masterclass d’écriture théâtrale au lycée, grâce au Pass Culture de l’établissement.
15 élèves volontaires de 2nde 6, 8 et 9 y ont participé avec un enthousiasme et une implication exemplaires.

La comédienne et professeure d’art dramatique a d’abord présenté aux élèves sa formation et son parcours artistique, en particulier en tant qu’autrice et metteuse en scène où Magali Solignat développe un sens particulier pour les écritures dramaturgiques, qu’elle partage avec sa co-autrice Charlotte Boimare.
Elle conduira ainsi les élèves à l’interrogation suivante qui servira de leitmotiv lors de la masterclass : Comment à partir de faits réels questionner les phénomènes de société, spécifiquement ceux concernant le passage de l’adolescence à l’âge adulte ?

La 1ère journée a permis aux élèves de découvrir leur propre style grâce à un travail d’écriture plateau et d’improvisations théâtrales, en s’inspirant d’un extrait de la pièce Maïwenn, 16 ans et demi.
Les élèves se sont imprégnés d’une même scène de la pièce à partir de laquelle ils ont inventé une suite en créant une scène d’action impliquant les deux personnages principaux.
Les élèves ont ainsi pu apprendre
à regarder ou figurer pour décrire, à s’approprier les personnages et les situations grâce à l’élaboration d’un plan d’actions imaginaire, à distiller dans la trame du récit les informations pour servir la tension dramatique d’une situation. Enfin à l’aide d’exercices d’écriture, ils ont dû écrire le résumé de leur texte et décrire les personnages.

La 2ème journée a été consacrée en petits groupes de 2 à 4 élèves au travail de mise en espace des différents textes puis à une restitution devant les autres.

Nous vous invitons à découvrir la vidéo réalisée par les élèves de la masterclass, montage de Nilâ Navailles, 2nde 8.