Une expérience unique pour la SEC8 Jury du Festival Nouveaux Regards 2025

La classe de Seconde 8 et leurs enseignants, Mme Emilie MAROT (Lettres) et M. Laurent XARRIE (Documentation), ont eu la chance et le privilège de participer à la 8ème édition du Festival Nouveaux Regards, organisé par l’Association Cinéma d’Ici & d’Ailleurs (ACIA), en partenariat avec la Région Guadeloupe et CANAL+, en étant les seuls membres du jury Jeunes Regards.

Pendant plusieurs semaines, les 31 élèves de la classe ont ainsi pu visionner les 16 courts-métrages en lice réalisés dans 10 territoires de la Caraïbe : Guadeloupe, Martinique, Jamaïque, République Dominicaine, Porto-Rico, Haïti, Costa Rica, Bahamas, Îles Caïmans, Trinidad et Tobago. Au terme des projections, les élèves ont échangé sur les films puis procédé à un vote afin de décerner leur Prix au court-métrage de leur choix.

     


Le dimanche 6 avril 2025, une délégation de 21 élèves s’est rendue au Mémorial ACTe pour participer à la cérémonie de clôture du festival Nouveaux Regards et pouvoir remettre le Prix Jeunes Regards au film Sirènes de Sarah Malléon (Martinique). Les élèves ont également décidé de décerner un Prix spécial au film Ivan de Jazz Pitcairn (Iles Caïmans).

Bande-annonce du film Sirènes de Sarah Malléon : https://youtu.be/SwsZlWY4ZoE

La remise du Prix par les élèves de la Seconde 8 : https://podeduc.apps.education.fr/video/89334-remise-prix-jeunes-regards-nrff-2025/

La remise du Prix Jeunes Regards au producteur de Sirènes

Nous vous partageons les retours des élèves sur cette expérience unique :

Participer au festival m’a permis de mieux découvrir le cinéma caribéen. »

Véritable opportunité, chance inouïe d’avoir été choisis pour faire partie du jury du festival Nouveaux Regards.

Faire partie d’un jury m’a permis de faire plus attention à chaque partie et à chaque détail des films que nous avons pu regarder et de découvrir des genres nouveaux.

Ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance de visionner et de juger des films dans le cadre d’un festival.

La cérémonie : « Une super expérience, une ambiance très joyeuse qui nous a plongés dans le monde du cinéma, plus un incroyable documentaire après la remise des prix.

Cette expérience nous a permis de découvrir un cinéma caribéen riche en histoires et en cultures.

J’ai beaucoup aimé cette expérience, notamment le fait de découvrir plein de courts métrages et de pouvoir exprimer son avis. Malgré le fait que l’on n’était pas tous d’accord entre nous, notre classement final m’a plu. A travers les courts-métrages, on a pu se mettre à la place de plusieurs personnages, comme dans le court-métrage, Ivan. J’en garde un très bon souvenir et j’aimerais refaire ce festival.

Nous avons vu des courts-métrages variés de genres très différents. J’ai aussi beaucoup appris sur les techniques afin de permettre aux réalisateurs de s’exprimer. Chaque court-métrage était unique.

Je recommande ce festival notamment aux jeunes pour qu’ils puissent découvrir de nouveaux horizons.

Ce festival nous a permis de regarder des styles de courts métrages que nous n’aurions pas regardés habituellement.

J’ai bien vécu cette expérience car je me suis sentie incluse. J’ai ressenti que notre regard, le regard de la jeunesse compte aussi dans ce festival aussi important.

J’ai aimé la diversité des histoires racontées.

J’ai trouvé ce festival très instructif malgré le choix des courts-métrages vainqueurs qui m’est encore incompréhensible.

Les courts-métrages étaient extrêmement bien réalisés, même si j’ai été un peu déçue que certains courts-métrages n’aient pas été récompensés. La cérémonie m’a quand même beaucoup plu.


Sybile, élève de 1ère, récompensée au concours national Résonances de la Fondation GoodPlanet

L’élève de 1ère, Sybile Freschi, a participé de fort belle manière à la 3ème édition du concours national Résonances organisé par la Fondation GoodPlanet dont le crédo est “Rêver le monde de demain”. Sybile a soumis un texte poétique intitulé “Les Rêves et l’Exil” qui a d’abord été retenu parmi 209 créations, une trentaine de candidatures dans sa catégorie, avant d’être sélectionné pour la finale du Festival qui s’est tenue à Paris, les 5 et 6 avril 2025.

Grâce aux votes du public, Sybile a eu l’honneur d’être lauréate dans la catégorie écriture 15-19 ans.

Les candidats finalistes de la 3ème édition du concours Résonances à Paris

J’écris depuis toujours. Pas pour être lue, pas pour publier, mais pour moi. J’écris dans mes carnets, je collectionne des poèmes — j’en ai des centaines — et je garde tout ça pour moi, dans un coin. C’est mon espace. Je ne partage presque jamais ce que j’écris, même pas avec ma famille.
Mais cette année, je me suis lancée un défi : écrire mon premier roman. Je l’ai commencé mi-décembre, et j’espère un jour pouvoir l’aboutir, le faire exister vraiment. Le faire “sourire”, comme on fait naître quelque chose.
Quand j’ai vu passer l’appel à projet du Festival Résonances, avec pour thème “Rêver le monde de demain”, je me suis dit que c’était peut-être le moment de sortir un texte de l’ombre. J’ai écrit “Les Rêves et L’Exil”, un texte très personnel, mais qui parle aussi de causes qui me touchent profondément : l’environnement, les luttes, les rêves d’ailleurs, les espoirs qu’on porte en silence. Et j’ai osé l’envoyer.

À travers mon poème « Les Rêves et l’Exil », j’ai voulu dénoncer les injustices subies sur Terre notamment celles de nombreuses femmes à travers le monde, privées de leurs droits fondamentaux et condamnées au silence. En tant que jeune femme libre et passionnée de trail, je ressent intensément ce privilège de courir, de m’évader, de rêver. Mais cette liberté que je vis comme une évidence me rappelle les chaînes qui entravent tant d’autres. À travers ce poème, j’ai voulu rendre hommage à celles qui, dans l’ombre, se battent ou rêvent en silence.

L’écriture m’a permis de transformer ma révolte en espoir. Mes mots sont un cri, une promesse de ne pas les oublier, mais aussi un appel à rêver d’un monde où elles pourront marcher, courir, et vivre sans entraves. Mon poème est un geste pour leur donner une voix. Pour moi, c’est un acte de résistance, un combat au-delà des frontières, un moyen de briser le silence qui les opprime et de forcer leur présence là où l’on cherche à les effacer.

Cette expérience a été un vrai tournant. Pour la première fois, mes mots ont quitté mes carnets. Ils ont été lus, entendus, compris. Et ça m’a bouleversée.
Grâce à cette sélection, j’ai aussi la chance de faire un stage à distance avec la maison d’édition Héloïse d’Ormesson. C’est une immense opportunité de découvrir les coulisses de l’édition et de faire avancer mes projets littéraires.
Ce que je retiens surtout, c’est que même des mots écrits en silence, dans un coin, peuvent un jour toucher quelqu’un. Qu’on peut commencer petit, écrire pour soi, et que malgré tout, quelque chose peut passer, peut résonner.
Comme je l’écris dans mon poème : Rêver, c’est sculpter demain.
Nous vous invitons à découvrir le texte « Les Rêves et l’Exil » : https://resonances.goodplanet.org/creations/creations-detail,710/

 

 


Concours d’éloquence du LGR : le palmarès de la 4ème édition

La finale de la 4eme édition du concours d’éloquence du LGR a eu lieu mercredi 12 mars de 9h à 12h.

Après une demi-finale en salle de théâtre, le 15 janvier, la finale du Concours d’éloquence s’est tenue dans la salle de délibération de la Mairie,  lancée par André Attalah,  Maire de Basse-Terre en partenariat avec les services de la Préfecture Guadeloupe dans le cadre des Cordées de la Réussite.

De gauche à droite : Mme Kuessan, M. Xarrié, Mme Baltzer, Mme Placide, M. Atallah, Mme Isidore, Mme Lucol et Mme Mender

Le jury était composé de Mmes Isidore-Agnesa (Proviseure Adjointe), Placide Ingrid (Déléguée du préfet à la politique de la ville pour l’arrondissement de Basse-Terre), Mme Mender Aurélie (professeur de lettres et de théâtre), Mme Baltzer Angélique (professeur de lettres), Mme Lucol Gillian (étudiante en CPGE AL 1 et lauréate du concours 2023-2024) et M. Xarrié Laurent (professeur documentaliste, référent Culture et Cordée de la réusssite). Après le discours inaugural de Gillian Lucol, les finalistes du pré bac ont délivré de très belles prestations.

L’élève de Première Chelsy FALA  a reçu le 1er Prix, une très belle tablette numérique, grâce à son discours émouvant  autour de : “Est-il toujours possible de trouver les mots justes”, suivie de Krysta MOBETIE (Terminale), 2ème Prix (discours autour de la différence) et enfin Eloïse BECHETOILLE (Seconde), 3ème Prix (discours engagé sur les rapports homme/femme). Canel VALEY (Seconde) a remporté le Prix spécial du jury grâce à son discours sur la parentalité, témoin d’une  grande maturité.

Les étudiantes de Post-bac ont poursuivi avec la lauréate du 1er Prix : Faïka JOSEPH en BTS SAM 1 et son discours sur le mensonge, Kessie MALBOROUGT en CPGE AL1, 2ème Prix (Discours sur l’échec, mythe ou réalité) et Louthiana SOUFFRANT BTS SAM 1  qui a obtenu le 3ème Prix (sur le thème de faut-il prendre la parole?). Clarisse PERRET en CPGE AL1 s’est vu décerner le Prix spécial du jury avec le discours peut-on rire de tout ?

Tous les candidats finalistes et membres du jury

Les autres candidats n’ont pas démérité et ont été jusqu’au bout de la démarche. Un grand bravo à tous les participants qui ont su s’investir dans ce concours dont le niveau était encore une fois très relevé.
Deux candidats se préparent d’ores et déjà pour le Concours académique Félix Eboué, qui pourra leur donner une nouvelle fois l’occasion de briller par leur éloquence au mois de juin au Mémorial ACTe.

Les éco-délégués s’engagent pour une meilleure gestion des déchets

Jeudi 16 janvier, avec le soutien du Rectorat, du Conseil Régional, de la DEAL Guadeloupe, du Ministère de la Culture et de la Mairie de Basse-Terre, les éco-délégués ont inauguré de nouveaux bacs de tri sélectif pour la collecte des bouteilles en plastique et les cannettes au sein du lycée.
Quatre bacs au total ont été réalisés par l’artiste Henri HILAIRE. Trois bacs en forme de papillon ont été installés à l’entrée du lycée, dans la cour d’honneur et à proximité du camion de restauration tandis que le quatrième bac, en forme de double panier de basket, a pris place entre la MDL et le plateau sportif.
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Le 1er bac de tri sélectif installé à l’entrée du lycée

 


 

Lors de la récréation de 10h, deux éco-délégués Tamisha Glorieux Thicot (SEC1) et Jade Joye (TG8) ont expliqué le fonctionnement des bacs avant d’animer un quiz sur le thème de la gestion des déchets.

Chaque bonne réponse permettait de gagner une des 4 gourdes isothermes, l’objectif étant de véhiculer le message suivant :

Utilisez une gourde isotherme plutôt qu’une bouteille plastique car le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas

En parallèle de cette inauguration, le lycée a affiché sur son mur d’enceinte extérieur le visuel créé par les élèves de l’option Tremplin en 2024 pour lutter contre le dépôt sauvage de déchets.
L’objectif ici est de sensibiliser la population et d’inciter à agir différemment, en commençant par acheminer ses déchets dans les centres de tri comme la déchetterie de Baillif ou celle de Capesterre Belle-Eau.
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Campagne d’affichage contre les dépôts sauvages de déchets


Lancement du concours sur la mobilité durable

En vue de la Semaine Européenne de la Mobilité qui se déroulera du 16 au 22 septembre 2025, la DEAL (Direction de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement), le Lycée Gerville Réache et leurs partenaires souhaitent sensibiliser les jeunes aux enjeux de la mobilité durable, en proposant un concours avec 3 objectifs distincts :

  1. Un concours de création d’un visuel (dessin, image numérique ou photo)
  2. Un concours de création d’un slogan destiné à être associé au visuel
  3. Un concours de création d’un spot radio

Le visuel, le slogan et le spot radio lauréats seront intégrés aux supports de communication de la DEAL Guadeloupe et de ses partenaires pendant la Semaine Européenne de la Mobilité du 16 au 22 septembre 2025.

Ce concours est ouvert aux collégiens et lycéens ainsi qu’aux étudiants âgés de 24 ans maximum scolarisés dans l’Académie de la Guadeloupe.

Entre le 20 janvier et le 17 avril 2025 minuit, les participants envoient par mail à l’adresse concours.mobilite.durable@gmail.com la création visuelle, le slogan ou le spot radio réalisés par leur soin.

Nous vous invitons à prendre connaissance du Règlement ci-contre


Le lycée lance la 4ème édition du concours d’éloquence

Dans le cadre du programme des Cordées de la réussite, une équipe d’enseignants du Lycée (Lettres, Théâtre et Documentalistes) lance la 4ème édition du concours d’éloquence.
Ce concours est ouvert à tous les élèves et étudiants scolarisés au sein du lycée Gerville Réache (cf. Règlement ci-dessous).

La participation se fera selon 2 catégories distinctes, avec 8 candidats minimum par catégorie :

  • Une catégorie pour les élèves de pré-BAC (2nde, 1ère et Terminale)
  • Une catégorie pour les étudiants post-BAC (BTS et CPGE)

3 Prix seront décernés pour chacune des deux catégories du concours (élèves et étudiants) à l’issue de la finale prévue le mercredi 12 mars 2025.

L’inscription se fait au CDI jusqu’au vendredi 20 décembre inclus.

L’étudiante CPGE AL 1ère année, Gillian LUCOL, a souhaité adresser un message d’encouragement à tous nos élèves
Après avoir reçu le 1er Prix du Concours d’éloquence à l’issue de la 3ème édition, Gillian y voit l’occasion d’un très bon entraînement aux épreuves orales.

Message de Gillian en cliquant ICI ➡


Gerville solidaire – Collecte de jeux et jouets du 2 au 13 décembre

Les éco-délégués organisent une collecte solidaire de jeux et de jouets au sein du lycée du 2 au 13 décembre 2024, en partenariat avec La Kabwèt a Jé, SOS Sans Abri et l’association d’aide aux ultramarins RUDN.

Du 2 au 13 décembre, vous êtes invités à déposer vos dons de jeux et jouets en excellent état :

  • En salle 8 pendant les récréations du matin
  • ou au CDI aux horaires d’ouverture

L’ensemble des dons collectés sera remis à nos partenaires avant les fêtes de Noël

NOUS COMPTONS SUR VOTRE GENEROSITE POUR AIDER A LA REUSSITE DE CE PROJET SOLIDAIRE.


Deux journées de master class pour les CPGE AL1 avec Malaury Eloi-Paisley

Dans le cadre du programme des Cordées de la Réussite, la réalisatrice guadeloupéenne Malaury ELOI-PAISLEY a animé deux journées de master class les 18 et 20 septembre, à destination des CPGE A/L1, sous l’impulsion de leur enseignant en Histoire, M. DELATRE, et l’équipe du CDI.

La master class a débuté par la projection de son film L’Homme-Vertige (93′) à laquelle ont également pu assister les étudiants de 2ème année. Les deux journées ont été consacrées à une découverte du cinéma du réel, des exigences de la démarche documentaire mais aussi du parcours personnel de la cinéaste. En clôture, la réalisatrice a proposé aux étudiants un exercice pratique avec prises de vue dans ou autour du lycée, dans le quartier du Carmel.

Nous vous invitons à lire ci-dessous le compte-rendu de l’étudiante Clara MIRVAL, CPGE A/L 1 :

L’art peut changer le monde » affirme Malaury Eloi Paisley réalisatrice guadeloupéenne. Les mercredi 18 et vendredi 20 septembre, Madame Eloi Paisley a en effet donné une master class aux étudiants d’hypokhâgne (première année de CPGE littéraire) à partir de son film L’Homme vertige (2024), plusieurs fois primés et pour lequel elle a consacré cinq années de sa vie. Elle n’a eu de cesse, sur ces deux journées, de partager avec nous sa passion pour le cinéma, mais aussi, son sens de la création.

L’idée de créer artistiquement est née d’un questionnement silencieux, d’un besoin de traduire un sentiment qu’elle ressentait. Elle n’a pu identifier et comprendre vraiment ce qu’elle voulait transmettre qu’en voyageant à l’autre bout du monde. Voir en face la souffrance des peuples autochtones d’Australie, de Nouvelle Zélande et de Nouvelle Calédonie en proie aux effets du capitalisme et du tourisme de masse, a attisé la flamme de sa créativité, et le choc ressenti fut tel qu’il l’obligea à réaliser un film.

Ne pouvant plus faire demi-tour, elle décida alors de filmer la Guadeloupe, qu’elle qualifie « d’endroit où l’on fait semblant pour coller à sa propre personne ». L’Homme vertige est le reflet du for intérieur de Malaury, d’un point de vue différent, porté peut-être par sa maladie chronique. Elle filme des corps malades, dans une ville abimée. Cette œuvre nous fait l’étalage des conséquences de notre histoire, face à la névrose héritée de l’esclavagisme et du colonialisme. Nous suivons la vie des sans-abris de Pointe à Pitre et de ceux dont l’habitat est inexorablement détruit, remplacé. L’absence de voix-off nous laisse seuls face à nos pensées, nos questionnements, leur mal être.

La réalisatrice ne prétend pas avoir changé la vie des différents protagonistes, ni même de leur avoir rendu leur dignité avec son film, mais elle a au moins franchi le pas, en initiant le contact avec empathie, bienveillance et parfois admiration pour des gens dont la vie est d’une difficulté infinie. Elle nous a demandé de faire de même. Il est essentiel de regarder en face la misère autour de nous, et de reconnaître l’errance caractéristique que nous partageons dans les anciennes colonies françaises.

Parmi les nombreuses sources d’inspiration de l’autrice, on retiendra notamment en littérature : Aimé Césaire, Maryse Condé ou encore Simone Schwarz-Bart.

Madame Eloi Paisley nous a laissés sur l’important conseil que voici : « Il faut créer avec raison, créer pour soi d’abord, pour que cela fasse sens pour l’autre ensuite.


Concours photo académique Biodiversité (in)visible

 

Le Lycée Gerville Réache est heureux d’organiser la 8ème édition du concours photo académique Art of change, en partenariat avec l’association Wi’anArt et avec le soutien du Rectorat de la Guadeloupe, le Ministère de la Culture, la DEAL Guadeloupe Ministère de la Transition écologique et le Conseil Régional.

Le thème mis à l’honneur cette année est : LA BIODIVERSITE (IN)VISIBLE

Ce concours photo qui s’adresse aux élèves et étudiants de 6 à 24 ans scolarisés dans l’académie de la Guadeloupe est une invitation à observer la nature qui nous entoure. Il nous invite à ouvrir grands les yeux sur le vivant pour mieux en apprécier la diversité et les richesses, tout en donnant envie de les préserver et de les respecter.

Cette 8ème édition souhaite mettre à l’honneur la biodiversité visible, celle qui se pare de couleurs vives pour attirer le regard, mais aussi la biodiversité qu’on nomme invisible. En dehors des stratégies de camouflage pour se fondre dans la nature, la bidodiversité dite invisible représente pourtant une part très importante en nombre d’espèces et de variétés dans l’éventail de la biodiversité mais par manque de visibilité, par méconnaissance ou en raison d’une apparence peu flatteuse, elle reste dans l’ombre ou mal aimée du grand public.
Les élèves et étudiants ont jusqu’au 16 février 2025 pour envoyer leurs photographies par mail à concours.photo.wianart@gmail.com, comme mentionné dans le Règlement du concours ci-dessous :

Master class Difé Kako mai 2024 – Retour en images

A l’occasion du Festival Patrimoines en lumières organisé par la Mairie de Basse-Terre, en partenariat avec le Lycée Gerville Réache, nous avons organisé une master class de danse avec la Compagnie Difé Kako et un groupe d’élèves volontaires de 2nde, le jeudi 2 et vendredi 3 mai 2024.

Cette master class fut l’occasion d’un formidable travail au lycée avec des professionnels de la danse et musique afro-antillaise, avec l’objectif ultime de se produire en public.

Deux représentations publiques intitulées “Bakannal an la ri” ont pu ainsi avoir lieu avec les élèves : une dans la cour d’honneur du lycée le vendredi 3 mai à 12h et une au Fort Louis Delgrès à partir de 18h15.

Retour en images sur ces beaux moments de partage et de créativité en cliquant ICI ➡ Reportage BAKANNAL AN LA RI