Sécurité civile : La première brigade de secours scolaire formée par le CNRBT

Ils sont désormais 11 lycéens de Gerville Réache à pouvoir prétendre faire partie de la 1ère brigade opérationnelle de secouristes de leur établissement scolaire ! C’est grâce à notre partenariat avec le CNRBT, le Cercle des Nageurs de la Région de Basse-Terre, qu’une telle formation a été possible dans le cadre des vacances scolaires, avec l’encadrement de Mme Saint-Phor, enseignante en EPS,

Après avoir réussi avec brio leur PSE1 (Premiers Secours par Équipe de niveau 1), ils viennent en effet de valider ce vendredi 5 janvier 2024 leur niveau 2 faisant d’eux des équipiers à part entière capables d’opérer sur des Dispositifs Prévisionnels de Secours (DPS) de petite comme de moyenne et de grande envergures !

La brigade de secours scolaire du Lycée Gerville Réache

Une première vague appelée à en construire d’autres, au regard des inscriptions et de l’émulation créée par ces 11 premiers lauréats.

5 filles et 6 garçons, tous promis à un bel avenir dans la mesure où, élèves de terminale, ils envisagent tous de poursuivre leur cursus de formation après le baccalauréat, aussi bien au niveau du secteur de la sécurité civile que de celui de la prévention, de la santé ou du sport.
Autant dire que ces 11 jeunes savent ce qu’ils veulent et sont déterminés à aller jusqu’au bout de tous les défis qu’ils sont prêts à relever dans cette dynamique de réussite. Tant sur le plan scolaire qu’extra scolaire !

  

LE CARNAVAL COMME GALOP D’ESSAI !

Dès ce dimanche 7 janvier à Basse-Terre, ils seront présents dans les rues du chef-lieu pour le défilé d’ouverture.
6 heures de mobilisation au cours desquelles ils seront encadrés de secouristes opérationnels rodés du CNRBT, leur club Formateur. L’occasion rêvée pour eux de faire face tout de suite à la réalité concrète de leur engagement en s’impliquant à fond dans cette nouvelle voie qu’ils se sont tracées et les nouvelles missions de secours à personnes qu’ils se sont données afin d’affronter ce nouveau challenge en toute lucidité et avec la foi et la motivation qui les caractérisent au regard des excellentes prestations qu’ils ont faites lors de leurs formations successives.

  


Ustium par La Compagnie la Mangrove

Le lundi 27 et mardi 28 février, le lycée Gerville Réache a eu le plaisir d’accueillir en résidence les danseurs Ludovic Bibeyron, Mickaël Top et Driss IxX de la Compagnie La Mangrove, dans le cadre du Pass Culture.

Des ateliers de pratique artistique ont été proposés à 80 élèves de 2nde, 1ère et terminale du Lycée, en amont de la représentation du spectacle USTIUM le mardi 28 après-midi à l’Auditorium Jérôme Cléry, grâce au partenariat avec la Mairie de Basse Terre.



Le lundi 27 et la matinée du mardi 28, ce sont trois ateliers qui ont été proposés aux classes de 2nde 1, 2nde 4 de Mme Ebring (EPS) et le groupe de 1ère et Terminales option Théâtre de Mme Mender.

Durant ces ateliers, les trois danseurs ont fait travailler les élèves sur les déplacements dans l’espace ainsi que sur l’écoute de groupe à travers des exercices et figures à effectuer en parfaite synchronisation. Parfois intrigués par les exercices proposés, les élèves ont volontiers joué le jeu en faisant preuve de concentration et, au fil des exercices, d’une plus grande écoute les uns des autres.


La représentation du spectacle Ustium s’est déroulée en présence du directeur et chorégraphe de la Cie, Hubert Petit-Phar, le mardi 28 après-midi devant plus de 260 collégiens et lycéens conviés dans le cadre du dispositif Rectorat / Préfecture intitulé Cordées de la Réussite : 75 collégiens de Gourbeyre (Richard Samuel) et Capesterre Belle-Eau (Germain St-Ruf) aux côtés de 190 lycéens de Gerville Réache (3 classes de 2nde, 2 groupes de 1ère et terminale, 1 classe de Terminale Carrières Sanitaires et Sociales et 1 classe de BTS Communication 1ère année)


Ustium (2022) est la dernière création de la Cie La Mangrove. Inspirée de l’œuvre Huis-clos de Jean-Paul Sartre, Ustium aborde le thème de l’enfermement et de l’identité. A travers cette thématique, la pièce dansée aborde en plusieurs “tableaux” les préjugés et stigmatisations sur la masculinité dans les Antilles ainsi que les questions autour de la représentation du corps noir.

De gauche à droite : Ludovic Bibeyron, Driss IxX, Mickaël Top (danseurs) et Hubert Petit-Phar (chorégraphe)

Au terme du spectacle de danse, un échange très dynamique entre les élèves et les artistes a pu avoir lieu. Durant plus de 40 minutes, il a été question du parcours de chacun des artistes (danseurs et chorégraphe), du processus de création ainsi que des thématiques autour de l’homophobie et de la masculinité / féminité. Ces thématiques et leur traitement dans Ustium ont interpelé et bousculé les élèves en permettant ainsi de susciter le débat avec les jeunes et leurs enseignants présents dans la salle.

Certains élèves ont été profondément touchés par cette représentation, peut-être assez pour éveiller en eux l’âme de futur danseurs ou chorégraphes.



Rencontres de la sécurité : intervention du CNRBT


 

Dans le cadre des Rencontres de la Sécurité, les élèves de 1ère option EPS et leurs enseignants, Mme G. Saint-Phor et M. L. Larochelle, ont rencontré des représentants du CNRBT, le vendredi 9 octobre après-midi, en salle de réunion pédagogique.

Le CNRBT, association agréée Sécurité Civile, intervient dans tous les milieux et tous les secteurs dans le domaine du secourisme, du sauvetage et de l’opérationnel, y compris lors de catastrophes naturelles majeures telles (cyclone, ouragan, séisme, tsunami, éruption volcanique, glissement de terrain, crise sanitaire…).

C’est ce retour d’expériences qu’est venu présenter le CNRBT aux lycéens afin de les sensibiliser et de les informer sur les pistes qu’ils pourraient être susceptibles d’envisager pour se tourner vers le secours à la personne et les métiers de la santé et de la sécurité (formations diplômantes et qualifiantes). Cette rencontre a également été l’occasion d’initier un projet portant sur la “Réserve Citoyenne” du Lycée Gerville Réache.

 


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Le Pôle Handball au Canada

Nos élèves du Pôle Handball féminin participent du 15 au 20 octobre 2019 au IHF Trophy à Montréal au Québec.

La compétition compte cette année 14 équipes au total, 7 équipes juvéniles féminines et 7 équipes juniors féminines : Mexique, Guadeloupe, Martinique, Puerto-Rico, Canada, USA autant en juvénile qu’en junior. Saint-Kitts and Nevis y sera en juvénile tandis que La Dominique ferme le groupe des juniors.

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Nous vous invitons à découvrir les photos de leur arrivée et des moments consacrées aux études.

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Le champion du monde 2019 de fleuret, Enzo LEFORT, en visite au Lycée

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Ancien élève du Lycée Gerville Réache, Enzo Lefort a souhaité rendre visite aux élèves des sections sportives : pôle handball et option de complément EPS (2ndes, 1ères et Terminales).

En tenue, il a pu croiser le fer avec des élèves du lycée
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Enzo Lefort était accompagné de Thierry Terret (Délégué ministériel des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024), Émeline N’Dongue (médaillée d’argent aux JO de Londres 2012 en basket) et Damien Combredet (Responsable Sport et Société).

Cette visite a été l’occasion de promouvoir le fleuret et l’escrime mais aussi le sport de haut niveau et les Jeux olympiques.

“Je suis l’élève moyen de Première S du lycée Gerville-Réache, qui était en train de bouquiner dans sa chambre quand son père lui a appris que Franck Boidin souhaitait qu’il intègre le Pole Espoir.”

INTERVIEW d’Enzo Lefort
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Journée Porte ouverte UNSS escrime

Quand Anaelle Talbot, Anaisca Sellin , Anaelle Toly et Joana Gomis représentent le lycée à la journée Porte ouverte UNSS escrime au CREPS
Nous ne sommes pas qualifiables cette année pour le Championnat de France car notre équipe n’a pas de gente maculine…
Mais l’essentiel est de participer…. les filles ont apprécié ce challenge et nous serons ensemble le 24 janvier pour le championnat d’Académie….
On espère que Joana sera qualifiée pour les « France” comme Jeune Officiel….
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Sélection nationale lors des Interpoles

Interpoles (F) – Éric Baradat : “Les mailles du filet sont très serrées”

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Les 4 tournois des interpoles féminins mettant aux prises les 25 pôles des Territoires se sont achevés samedi dernier à Bourg-de-Péage avec la zone Sud Est. Eric Baradat, responsable du Parcours d’Excellence Sportive féminin, évoque cette étape fondamentale dans le travail de détection.
L’hexagone est partagé en quatre grandes zones qui chacune organise un tournoi interpole permettant ainsi une évaluation des jeunes pousses du handball français. Au-delà de la victoire des pôles d’Orléans à Chambray (zone Sud-Ouest), de Brest à Granville (zone Nord-Ouest), de Strasbourg à Dijon (zone Nord Est) et de Marseille à Bourg-de-Péage (zone Sud est), Eric Baradat a pu observer quelques centaine de joueuses âgées de 15 à 18 ans (1998 à 2001) afin de bâtir un groupe en vue du SN3 (Stage National 3). Une sélection élargie de 64 joueuses qui participeront au SN3 organisé par la Direction Technique Nationale du 21 au 25 février au Palais des Sports de Besançon. « La vocation des interpoles est d’offrir une étape dans l’évaluation du travail des joueuses, vers l’accès au professionnalisme, explique Éric Baradat qui a suivi pendant 17 jours l’intégralité de cette compétition. L’objectif est de faire émerger des joueuses vers l’équipe de France jeune et les centres de formation avec les meilleures de la catégorie 1998-99. »

Des profils variés
Ces 64 joueuses ne sont pas nécessairement issues des pôles victorieux ou dans le respect d’un quota des différentes zones. C’est à dire que quatre gardiennes peuvent être issues de la même zone géographique tandis que les joueuses gauchères peuvent être disséminées sur les différents pôles. Ainsi à Besançon, l’entraîneur national bâtira quatre équipes de 16 joueuses, « quatre collectifs équilibrés mettant en scène nos meilleurs éléments afin d’alimenter France jeunes et les centres de formation. »
L’adage « il n’y a pas qu’une vérité dans le handball » permet d’ouvrir les portes à des joueuses dotées d’un point fort, qu’il soit technique, morphologique, physique, mental, de combat, de lecture du jeu… « En effet nous cherchons des profils variés avec des joueuses évoluant dans des registres différents, rapporte Éric Baradat qui n’envisage pas de passe à côté d’une future internationale. Il existe toujours de contre-exemples et nous avons toujours espoir que cela puisse exister, sourit le technicien, mais franchement il y a peu d’espoir que cela puisse arriver car les mailles du filet sont très serrées. »