Inauguration de la salle Jean-Pierre Sainton par les CPGE AL

Cérémonie d’hommage à l’historien Jean-Pierre Sainton

Mercredi 6 mars, la salle 121 a été renommée en hommage à l’historien Jean-Pierre Sainton, en présence de sa famille et de nombreux représentants, lors d’une matinée spéciale en son honneur organisée par les étudiants en Classes préparatoires aux grandes écoles littéraires et leurs enseignants, Mme L. OTVAS et M. G. DELATRE.

La matinée a d’abord débuté avec deux conférences destinées aux étudiants CPGE :

« Lecture historique du Prince de Machiavel » de 8h à 9h30 par Jean Claude Zancarini, professeur des universités émérite d’études italiennes à l’Ecole normale supérieure de Lyon.

« Contraception et avortement dans les départements d’outre-mer une situation exceptionnelle ? (1962-1972) » de 9h45-11h par Michelle Zancarini-Fournel, professeure des universités émérite d’histoire contemporaine à l’université Claude Bernard-Lyon-I, et marraine de la CPGE A/L.


Menée par Akéva et Annabelle, étudiantes en 3ème année, aux côtés de leurs camarades des CPGE littéraires, la cérémonie d’inauguration s’est poursuivie à 11h avec l’hommage à Jean-Pierre Sainton dans la cour d’honneur du lycée.
Les mots du Proviseur, M. LAPIN, ont ouvert l’hommage rendu avant les discours du Maire de Basse-Terre, M. ATALLAH, puis des historiens, Michelle ZANCARINI-FOURNEL et Raymond BOUTIN, président de la Société d’Histoire de la Guadeloupe.

Discours en hommage à l’historien Jean-Pierre Sainton


La cérémonie était ponctuée de gwoka avec le groupe 7 Son@to et d’un live-painting de l’artiste Yelow.

La salle réservée aux CPGE A/L porte dorénavant le nom de l’historien Jean-Pierre Sainton

L’inauguration de la salle s’est terminée à l’étage avec le dévoilement de la plaque réalisée par l’artiste Henri HILAIRE et la fresque de YELOW sur les murs intérieurs de la salle, en présence de la famille et des invités officiels.

Étudiants CPGE AL2

Ce projet tenait particulièrement à cœur des étudiants car la dernière conférence de l’historien a été donnée dans cette même salle quelques semaines avant son décès en août 2023.
Cette inauguration qui a permis la valorisation des CPGE au sein de l’établissement a été réalisée en partie grâce au programme des Cordées de la Réussite, avec le soutien du Rectorat et de la Préfecture de la Guadeloupe.

Nous vous invitons à découvrir le reportage réalisé par CANAL 10 TV en cliquant sur le lien suivant :

Les BTS Communication à pied d’œuvre pour Wi’anArt #12

Depuis 2012, le Lycée Gerville Réache organise la manifestation Wi’anArt avec ses partenaires dont l’association du même nom et le soutien du programme des Cordées de la réussite (Préfecture et Rectorat de la Guadeloupe).

Chaque édition permet de promouvoir l’art contemporain auprès des jeunes, en mettant à l’honneur les artistes guadeloupéens et plus largement de la Caraïbe.
Cette année, Wi’anArt a souhaité mettre en avant Haïti et sa diversité culturelle, en rappelant les liens qui unissent Haïtiens et Guadeloupéens.
La 12ème édition sera ainsi l’occasion de découvrir deux jeunes artistes contemporains, Stephanie JEANTY et Shneider Léon HILAIRE.

En résidence pour un mois en Guadeloupe, les deux artistes haïtiens présenteront leurs œuvres originales lors d’une exposition ouverte au public au Pavillon de la ville de Pointe-à-Pitre, du 2 au 16 mars 2024, sur le thème Identités et Mémoire Collective.
Les étudiants BTS Communication de 1ère année et leurs enseignantes, Mmes Larifla et Heisel, ont élaboré les différents supports de communication (visuels, communiqué et dossier de presse et spots vidéo à découvrir ci-dessous) et seront les maîtres de cérémonie du vernissage de l’exposition le vendredi 1er mars où ils vous attendent nombreux à partir de 18h.

Carton d’invitation du vernissage de l’exposition

Stephanie Jeanty et Shneider Léon Hilaire animeront également du 4 au 26 mars des ateliers artistiques dans une quinzaine d’établissements scolaires répartis aux quatre coins de l’archipel, du Moule à Basse-Terre, en passant par Pointe-à-Pitre, Sainte-Rose, Capesterre Belle-Eau, Gourbeyre, Marie-Galante et les Saintes.

Pour faciliter la tenue des ateliers, en particulier dans le sud Basse-Terre, les deux artistes seront logés dans l’appartement invités du lycée. Nos élèves pourront ainsi aisément rencontrer les artistes et prendre part aux ateliers. De même, les collégiens de Capesterre Belle-Eau et Terre-de-Haut se rendront au lycée les 25 et 26 mars pour participer à la 12ème édition Wi’anArt et découvrir les formations et enseignements de notre établissement.


 


Rencontres et ateliers avec l’artiste cubain Choco

Dans le cadre du programme des Cordées de la réussite, le Lycée a eu l’honneur de recevoir Eduardo Roca Salazar, dit Choco, artiste plasticien cubain internationalement reconnu pour uné série de rencontres et d’ateliers de pratique artistique.

   

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Mardi 12 décembre, l’artiste Choco a d’abord animé en matinée un atelier à destination d’une classe de 3ème du Collège Richard Samuel de Gourbeyre. Cet atelier a donné lieu à la création d’une fresque murale.
L’après-midi, il a pu rencontrer les étudiants CPGE AL et la classe de 2nde 10, avec Mmes Boc et Cruces. Après la projection de son portrait documentaire, les étudiants et les élèves ont pu échanger en espagnol avec Choco qui s’est livré sur son enfance, sa vie à Cuba et son travail créatif.

Atelier créatif en salle d’arts plastiques sous l’oeil expert de l’artiste Choco

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Le mercredi 20 décembre, les 15 élèves de seconde 7 en option arts plastiques ont eu l’honneur et le plaisir d’accueillir l’artiste cubain de renommée internationale pour un atelier de 2 heures.
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Ils ont pu exécuter deux grandes peintures à partir d’une sélection de 5 esquisses qu’ils avaient eux-mêmes réalisées en début de semaine en s’inspirant à la fois d’œuvres de Choco et de mythes célèbres de la Caraïbe, tels que la Diablesse, Manman dlo, le Soucougnan ou le Chouval twa pat.
Les élèves ont ainsi réalisé deux oeuvres picturales de grande dimension : un panneau de 153 x 310 cm et un second panneau de 122 x 244 cm.
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C’est avec un réel enthousiasme que ces 15 élèves se sont impliqués dans cet atelier sous l’œil attentif et bienveillant de l’artiste qui n’a pu résister à l’envie de prendre, à son tour, couleurs et pinceaux pour réaliser une magnifique peinture en quelques minutes seulement !
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Un moment privilégié pour les élèves qui garderont longtemps en mémoire cette belle rencontre avec un artiste exceptionnel.

Les élèves de 2nde 7 option Arts plastiques et l’artiste Choco


46 élèves et étudiants au Salon des Métiers et Formations de l’Audiovisuel

Vendredi 17 novembre, la 1ère édition du Salon des Métiers et Formations de l’Audiovisuel s’est tenue dans les jardins de Guadeloupe La 1ère à Baie-Mahault.

Organisé par le Campus LUMINANS et son partenaire Guadeloupe La 1ère, ce salon s’est voulu résolument tourné vers les nouvelles formes du journalisme et de l’audiovisuel, le numérique ayant transformé à grande vitesse les pratiques professionnelles et la façon de consommer l’information sous toutes ses formes. TikTok, Instagram, LinkedIn, Twitter sont dorénavant des outils et supports de la création audiovisuelle, privilégiés par les jeunes. En quelques années, les réseaux sociaux sont devenus des canaux d’information incontournables dont s’emparent de plus en plus les médias traditionnels, non sans de nécessaires adaptations sur le contenu et les méthodes de travail.


Les étudiants de la classe de BTS Communication 1ère année ont animé durant toute la journée un stand afin de présenter, aux côtés des Persévérants, leur formation, accompagnés de leurs enseignants, Mme Larifla et M. Boisdur.

De plus, 16 élèves de terminales et 14 étudiants CPGE AL se sont portés volontaires pour y participer et pouvoir bénéficier du programme : conférences débats sur les métiers de scénariste, réalisateur mais aussi journaliste à l’ère des réseaux sociaux, le journal de 13h en direct, une présentation du métier d’animateur radio Web…

Cette sortie pédagogique s’inscrit pleinement dans le cadre du programme des Cordées de la réussite, avec le soutien du Rectorat et de la Préfecture de la Guadeloupe. C’est ainsi que le lycée a pu prendre en charge le transport en bus et inviter une classe de 3ème du Collège Richard Samuel, seule classe de collégiens à pouvoir participer à ce salon.

Nous remercions sincèrement les organisateurs de ces 1ères Rencontres sur les métiers et formations de l’audiovisuel et tout particulièrement Mme Marilène FERDY, Directrice opérationnelle du Campus des Métiers et des Qualifications de l’Audiovisuel et du Cinéma  Guadeloupe – Campus LUMINANS.


 

 


Josza Anjembe donne une master class aux étudiants de la classe d’hypokhâgne du Lycée Gerville-Réache

La réalisatrice et scénariste Josza Anjembe est actuellement en résidence en Guadeloupe pour un mois, à l’invitation de l’association Wi’anArt et grâce au soutien de la DAC Ministère de la Culture.

Les vendredi 15 et mercredi 20 septembre, dans le cadre d’un projet porté par le CDI et le programme des Cordées de la réussite (Préfecture et Rectorat de la Guadeloupe), Josza Anjembe s’est consacrée entièrement aux étudiant.e.s de première année de la classe préparatoire littéraire du lycée, avec pour objectif de les sensibiliser au « pouvoir des images » (dans notre société où les réseaux sociaux prennent une place toujours plus importante) et de les initier à la production cinématographique.

Dès lors, de nombreuses activités, souvent ludiques, autour de l’écriture cinématographique et du tournage, ont été proposées par la cinéaste au cours de ces deux journées. Les étudiants se sont transformés en apprentis avec d’autant plus de sérieux et d’enthousiasme que nombreux sont ceux qui envisagent de s’orienter vers les métiers du journalisme et de la communication.

Mais voyons d’abord qui est Josza Anjembe.

Agée de 41 ans, Josza Anjembe est une documentariste, réalisatrice, scénariste et professeure aux multiples distinctions. Dès 2011, elle se lance dans la production cinématographique et est notamment la réalisatrice de la fiction dramatique Le bleu blanc rouge de mes cheveux (que les étudiants ont eu l’occasion de visionner) et qui, en plus d’avoir été nommé pour le César du “meilleur court-métrage” en 2018, a reçu pas moins de 37 récompenses.

Josza Anjembe face à une classe captivée. Crédit photo : Laury-Ann Adelaïde

La première journée fut une redécouverte des trois grands types de films : le film de fiction, le documentaire et le reportage. Mme Anjembe a beaucoup insisté sur les différences entre ces deux derniers types, souvent confondus. Il ressort néanmoins que, dans chaque écriture cinématographique, on peut retrouver un protagoniste, un antagoniste, un incident déclencheur et une résolution. La construction de toute histoire passe par ce processus de création.

Les étudiants ont eu l’occasion de s’exercer à partir de captures d’écran extraits du court-métrage Le blanc, bleu, rouge de mes cheveux et ce, avant de visionner le film. Chacun des quatre groupes était libre de choisir et d’interpréter les images mises à disposition afin de bâtir un court scénario.

Construction d’un scénario à partir d’images tirées du court-métrage Le bleu, blanc,rouge de mes cheveux. Crédit photo : Laury-Ann Adelaïde

Après la théorie, est venue la mise en pratique…

Dans l’optique de la deuxième séance, les étudiants répartis en groupes, avaient pour consigne de réfléchir à un sujet de documentaire, en dégageant un thème et une question principale. Par conséquent, la matinée du vendredi, second jour du séminaire, a été consacrée au tournage. Chaque groupe pouvait parcourir les rues de Basse-Terre, s’il le souhaitait, et devait filmer à partir d’un smartphone pourvu d’un stabilisateur.

« L’amour », « la musique », « la solitude », « les rêves déçus » ou encore « les locks » furent les sujets choisis par les différents groupes de la classe.

La fin de la matinée fut consacrée au montage et l’après-midi à la présentation de ces petits documentaires de 2 à 11 minutes, sous l’œil expert et exigeant de la réalisatrice.

Cette immersion dans la création cinématographique fut un véritable enrichissement intellectuel et culturel pour les étudiants et une sorte de parenthèse enchantée dans leur formation sélective.

Un article de Laury-Ann Adelaïde et de Maurie-Anne Pernelle-Francillette, CPGE AL1.

Nous vous inviton également à lire l’article paru à ce sujet dans le journal France-Antilles du mercredi 4 octobre


Projection – Débat sur l’illettrisme autour du film Les Petites victoires

Dans le cadre du programme des Cordées de la Réussite, Le Lycée organise deux projections suivies d’un débat autour du film Les Petites victoires (2023) à l’Auditorium Jérôme Cléry de Basse-Terre le Jeudi 21 septembre.
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➡ Séance réservée aux scolaires de 9h30 à 11h45 à laquelle participeront plus de 250 élèves et étudiants : 3 classes de 3ème des Collèges Joseph Pitat et Richard Samuel, 5 classes du Lycée Gerville Réache (2ndes 4 et 10, 1ère et Term. ST2S et BTS CG2) et un groupe de stagiaires de la Mission de lutte contre l’illettrisme de Guadeloupe Formation.

➡ Séance tout public avec un groupe de lycéens internes de 19h30 à 21h15, en partenariat avec l’association Clap Cinéma et Ciné Woulé

Chacune de ces projections sera suivie d’un débat animé par Jessica Oublié (ANLCI – Préfecture) en présence de représentants d’associations et structures œuvrant dans la prévention et la lutte contre l’illettrisme.

Nous remercions sincèrement la Mairie de Basse-Terre pour la mise à disposition de l’Auditorium Jérôme Cléry.

Les Petites victoires est un film français de Mélanie Auffret sorti en mars 2023 avec Julia Piaton et Michel Blanc…

Synopsis : Entre ses obligations de maire et son rôle d’institutrice au sein du petit village de Kerguen, les journées d’Alice sont déjà bien remplies. L’arrivée dans sa classe d’Émile, un sexagénaire au caractère explosif, enfin décidé à apprendre à lire et à écrire, va rendre son quotidien ingérable. Surtout qu’Alice, qui n’avait rien vu venir, va devoir aussi sauver son village et son école…

Une comédie sociale

Bande-annonce Les Petites victoires

Malgré ses sujets (la désertification des villages et l’illettrisme), Les Petites Victoires est une comédie.
La réalisatrice souligne : “Il était cependant important pour moi de rester dans les codes du cinéma que j’aime, à savoir la comédie, où le propos, en apparence léger, permet tout de même de donner à réfléchir. Car le film s’appuie sur des personnages positifs, et souligne aussi l’importance de faire les choses ensemble.”
C’est cette combinaison qui a séduit Michel Blanc : “Mélanie Auffret a choisi d’en faire une comédie à la fois optimiste et très drôle. Pour contrebalancer le côté profond et dur de la réalité de l’illettrisme, on assiste au parachutage d’un homme mûr dans une classe de gamins entre six et neuf ans qui, pour la plupart, sont plus avancés que lui dans l’apprentissage de la lecture. Ce contraste est forcément source de comédie et il m’a offert le plaisir de jouer avec des enfants.”
Julia Piaton renchérit : “Effectivement la force de Mélanie, c’est qu’elle parvient à dire des choses graves avec beaucoup de joie et de fraternité. Car elle rappelle sans cesse le côté capital du lien humain, de l’attention que l’on porte aux autres et de la bienveillance.”

Bal Bakannal par la Cie Difé Kako à l’Auditorium

Vendredi 27 janvier matin et après-midi, la Cie Difé Kako a fait forte impression avec son spectacle Bal Bakannal en faisant danser plus de 450 élèves à l’Auditorium Jérôme Cléry.



Grâce au partenariat avec la Mairie de Basse-Terre qui nous a prêté gracieusement la belle salle de l’Auditorium, 11 artistes musiciens et danseurs de la Cie Difé Kako ont proposé plus d’une heure de spectacle tel un voyage musical participatif et pédagogique autour des carnavals caribéens, européens et africains : Guadeloupe, Martinique, Guyane, Dunkerque, Venise et Afrique centrale.

Tous les élèves présents étaient aux anges. Au son des instruments sur scène, ils ont dansé, bougé, sauté et longuement applaudi chacune des chorégraphies.



Chantal LOIAL, responsable et chorégraphe de la compagnie, explique ainsi son projet artistique Bal Bakannal :

Le bal est un lieu où l’on danse et où l’on regarde danser. Ainsi, dans le « Bakannal Bal », les publics sont invités à apprendre des danses issues des recherches sur les carnavals des différents territoires et des recherches sur les danses de combat, accompagnés par des musiciens en direct développant un répertoire de compositions originales et créolisées.

La musique comme les danses sont nourries du répertoire des Touloulou (bal guyanais) comme des bals masqués de Venise. Les publics deviennent aussi spectateurs, face aux performances dansées, sportives et musicales des équipes de la compagnie Difé Kako.

En octobre 2022, le Lycée Gerville Réache avait déjà accueilli en résidence 3 artistes de la Cie Difé Kako pour son projet Joséphine2b. A travers la danse et le théâtre, Joséphine2b évoque la place du jardin créole dans la culture antillaise et les conséquences de la pollution au chlordécone. Cette résidence avait permis la mise en place d’ateliers avec les élèves pour les impliquer activement à la représentation finale du spectacle.

Fort de cette expérience artistique, le lycée a souhaité organiser deux représentations de Bal Bakannal en invitant les autres élèves du bassin, grâce aux crédits du Pass Culture de l’établissement et au dispositif Cordée de la Réussite (Rectorat / Préfecture). C’est ainsi que plus de 450 élèves ont pu participer aux représentations du spectacle à l’Auditorium Jérôme Cléry :

  • 142 élèves de CM1/CM2 des écoles Aimée Renia, Mélanie Milly et Gaston Michineau de Basse-Terre
  • 52 collégiens de Capesterre Belle-Eau (Germain St-Ruf)
  • 50 collégiens de Saint-Claude (Rémy Nainsouta)
  • 40 collégiens de Gourbeyre (Richard Samuel)
  • 26 collégiens de Baillif (Jean Jaurès)
  • 42 lycéens de Versailles
  • 103 lycéens de Gerville Réache.

Au terme de chacune des deux représentations, Chantal Loial a animé un bord de scène aux côtés des danseurs et des musiciens. Chacun avait à cœur d’expliquer aux jeunes ses influences musicales et sa vision du Carnaval selon les régions du monde. Un moment particulièrement riche et pédagogique !


Exposition L’Apport de l’Afrique ancienne au développement des sciences et des techniques

Dans le cadre des Cordées de la Réussite, le Lycée Gerville Réache accueille du 21 novembre au 2 décembre l’exposition L’Apport de l’Afrique ancienne au développement des sciences et des techniques : mathématiques, architecture, astronomie, médecine, écriture…
Composée de 40 panneaux, l’exposition a été conçue par les professeurs Cheikh M’Backe Diop et Ahmadou Wagué, deux scientifiques reconnus internationalement pour leurs travaux.
L’exposition nous informe sur une multitude de savoirs primordiaux, aujourd’hui intégrés par l’ensemble de l’humanité, dont la découverte et la maîtrise se sont produites sur le continent africain, permettant ainsi aux élèves de s’instruire sur l’origine des sciences, leur utilité et les mécanismes de pensée qui les entourent.
 
Mikaël-Issa Tirolien, directeur de l’association Karucréa, animera des visites guidées de l’exposition.
20 classes de 2nde, 1ère, Terminales et CPGE bénéficieront de cette visite guidée d’une heure selon le planning ci-dessous.

Chronique d’Estelle-Sarah Bulle dans La Croix – Retour sur sa résidence au Lycée

La romancière Estelle-Sarah Bulle a consacré sa dernière chronique hebdomadaire parue ce jeudi 29 septembre dans le quotidien national La Croix à sa résidence en Guadeloupe, en particulier au lycée Gerville Réache où elle a résidé du 12 au 24 septembre 2022 grâce au dispositif Résidence d’auteur à l’école du CNL et le soutien de la DAC Guadeloupe et de l’ANLCI.

Chronique d’Estelle-Sarah Bulle parue dans le journal La Croix du jeudi 29 septembre 2022

Estelle-Sarah Bulle y évoque ses différentes rencontres autour de la littérature et son métier d’écrivaine, tout en dessinant un portrait enthousiaste de la jeunesse guadeloupéenne malgré les difficultés environnementales (dont le passage de la tempête Fiona), sanitaires et sociales.