Le Lycée partenaire du Festival Nou Sé Yonn 2ème édition

Le lycée est heureux d’être partenaire de la 2ème édition du Festival Nou Sé Yonn organisé par Gwada Circus.
Initialement programmé en novembre 2021, le festival Arts du cirque et Arts de la rue (Théâtre, conte, danse, musique et street-art) se tiendra sur le site du Champ d’Arbaud à Basse-Terre les Vendredi 18 et Samedi 19 mars prochains.
➡ Le vendredi 18 mars est entièrement dédié au public scolaire, avec pas moins de 1000 élèves attendus sur le festival entre 9h et 13h.
➡ Le samedi 19 mars est destiné au tout public, avec accès libre et gratuit de 10h30 à 22h30.

Le Lycée accueille en résidence du 13 au 22 mars la Cie OXYMORE qui se produira au sein de l’établissement le mercredi 16 mars avant de jouer leur spectacle Les dactylos sur le site du Champ d’Arbaud. Trois représentations au lycées : 2 en salle de cours avec une classe de 2nde et une classe de 1ère puis dans la cour de récréation.
Le Lycée héberge également du 15 au 21 mars le musicien martiniquais VEN Beat Box qui animera un atelier avec les élèves de la chorale avant de produire son dernier spectacle Free style is a live.
La Cie KIROUL animera des ateliers le mardi 15 et jeudi 17 mars autour de son spectacle Les Oizeaux se crashent pour mourir qui revisite de façon burlesque le drame Roméo et Juliette : Rencontre avec les 2nde 1 (Mme BOUSQUET) le mardi 15 et atelier de pratique théâtrale avec les 2nde de l’option Théâtre (Mme MENDER) le jeudi 17 mars.

Vous trouverez en ligne le programme complet des spectacles du Samedi 19 mars à l’adresse : https://view.genial.ly/62041b74be9a8e0018605233/interactive-content-programmation-nsy2mars
En cliquant sur chaque lieu (Chapiteau, Podium, Scène extérieur et Champ d’Arbaud), vous pourrez accéder au synopsis de chacun des spectacles proposés.

Programme complet Festival Nou Sé Yonn du Samedi 19 mars


L’écrivaine Gisèle Pineau, marraine de la CPGE AL1

Le mercredi 9 février, dans le cadre du marrainage de la Classe Préparatoire aux Grandes Écoles littéraires (CPGE A/L 1) promotion 2021/2023, les élèves d’hypokhâgne et de khâgne du lycée Gerville-Réache ont eu l’honneur d’accueillir Madame Gisèle Pineau.

Première écrivaine féminine à obtenir le prix Carbet de la Caraïbe, nommée chevalier des Arts et des Lettres en 2006 et bien d’autres, cette grande femme de lettre guadeloupéenne, vraie figure du monde littéraire antillais est une source d’inspiration pour nombre de passionnés d’écriture et de récits sur la condition
sociale. Bien que solitaire, l’écriture est pour elle une activité avec une jubilation dans le processus de création. Elle lui permet aussi de partir à la rencontre de son public. Des rencontres qui donnent du sens à son travail tout comme le fait de toucher des lecteurs inconnus.

Parmi ses ouvrages les plus reconnus, on peut citer Un papillon dans la cité, son premier roman, publié en 1992. Aujourd’hui cet ouvrage est encore étudié et utilisé notamment dans les universités américaines pour étudier le français .
« Les livres voyagent, ils passent de main en main, ils voyagent »


Au programme de l’événement, les élèves ont lu un extrait de Cent vies et des poussières ainsi qu’une autre lecture mais d’une lettre aperçue dans la couleur de l’agonie et par la suite fut présenté un discours de remerciement au nom de la classe pour son engagement en tant que marraine de la promotion 2021/2023. Au cours des deux heures de rencontre, la classe fut invitée à poser des questions.


Lecture d’un extrait de Cent vies et des poussières, par Edith VARIN

Nous savons que vos œuvres ont vraiment traversé les générations, selon vous quelle est l’œuvre qui a le plus impacté les lecteurs ?
Gisèle Pineau – La littérature jeunesse n’était pas un projet pour moi. Je n’ai d’ailleurs pas eu accès à ce type de littérature. Je voulais plutôt écrire un roman dans lequel on retrouve la Guadeloupe avec sa culture, ses paysages, sa langue, dans le but que le lecteur s’identifie au personnage. Bien que les livres nous permettent de voyager, il me semble important de savoir qu’il existe une littérature dans laquelle on peut s’identifier. Mon projet était d’écrire de grands romans. La grande drive des esprits par exemple , grand succès édité en 1992 a reçu le prix des lectrices du magazine ELLE en 1993 ainsi que le prix Carbet de la Caraïbe. Ce fut mon premier grand roman publié et c’est ainsi que je suis entrée dans la littérature d’un seul coup avec ces deux grands prix littéraires. Ce grand prix national et cet autre prix décerné par un jury d’enseignants caribéens présidé par Édouard Glissant. Ce fut une reconnaissance pour moi.


 

Présentation du discours de remerciements de la classe réalisée par Alexandra MÉLON

Vous évoquez souvent le thème de l’exil , mais cela a-t-il un rapport avec le Bumidom ?
C’est bien antérieur au phénomène du Bumidom. C’est lié à la grande histoire de France et à l’époque de la dissidence de la Seconde Guerre mondiale. Beaucoup de guadeloupéens ont embarqué sur des canots de pêcheurs pour atteindre l’île de la Dominique, de Ste Lucie et à partir de là ont embarqué dans des navires pour être formés au maniement des armes aux États
Unis. Il faut savoir qu’ à l’époque nous étions sous le gouverneur Sorin qui avait mis en place des patrouilles. Il y avait aussi beaucoup de répression, de couvre feu et des jeunes de 17/19 ans risquaient leur vie pour rejoindre l’île voisine. Mon père a répondu à l’appel du général De Gaulle et était fasciné par ce « général micro ». A l’issue de cette guerre, il a décidé de faire carrière dans l’armée française . Il va épouser ma mère, une petite dame de la campagne rêvant de Paris à travers des magazines servant d’emballages pour les bananes. Mes parents vont donc vivre à Paris et voilà comment des petits guadeloupéens vont naître à Paris. C’est la grande histoire qui vient changer les petites histoires.

Cependant ce monde fut très compliqué et j’ai dû subir beaucoup de racisme. Comment ne pas devenir schizophrène quand on se retrouve dans une famille où il y a un adorateur de la France et du général de Gaulle, une adoratrice de Paris et que de plus, dès que vous mettez le pied dehors on vous dit de rentrer chez vous en Afrique. Quand on quitte un territoire qu’est ce que l’on prend avec soi? Ce sont des questions qui m’obsèdent.


Avez-vous déjà pensé à des romans à deux voix ?
Je crois que je ne pourrais pas écrire un livre à quatre mains. J’ai écrit un seul livre en collaboration avec Marie Abraham qui s’appelait Femmes des Antilles . C’est un essai dans lequel j’ai fait le tour des femmes, du temps de l’esclavage à nos jours, mais cela n’a rien à voir avec le roman.
Vous savez, écrire c’est un terrain de jeu, on fait ce que l’on veut. Je ne me censure pas, j’écris ce que j’ai envie d’écrire. Quand j’écris j’ai envie d’être dans une authenticité et non dans le politiquement correct. Il faut que ça soit beau dans la forme mais aussi qu’il y ait du fond et du sens. Je veux allier les deux. Offrir aux lecteurs un voyage qui lui permette de sortir de sa routine. On crée son propre langage. Alors non, je ne peux pas écrire avec quelqu’un.


Signature de la convention par Mme Gisèle Pineau et M. José Victorin, Proviseur.

Comment avez-vous réussi à apporter autant de détails dans l’écriture de scènes comme le viol dans La couleur de l’agonie ?
Moi j’aime les challenges. Quand on est écrivaine, ce qui paraît inaccessible existe en réalité. Et c’est ce qui rend l’activité belle. Le sujet m’est venu instantanément car c’est un thème qui m’interpelle et qui me donne envie d’en parler. Cela arrive tous les jours que des jeunes filles se fassent violer. J’aime aller le plus loin possible. Je voulais que mes lecteurs et mes lectrices puissent entrer dans la peau de ces victimes. Que le lecteur puisse même sentir physiquement les choses, même si elles sont violentes. Il y a une façon de faire mais surtout avec honnêteté.

Quel roman d’un autre auteur vous a donné envie d’écrire ?
La grande Toni Morrison . C’est un modèle pour de nombreux auteurs. Vous savez, on a l’impression que chez certaines chanteuses, le son sort tout près de la gorge, et pour d’autres, il sort des tripes, du ventre. Pour moi , Toni Morrison c’est ça. Je dirais alors son roman Jazz. C’est une autrice que je recommande. Son écriture est peut-être exigeante mais elle en vaut la peine.

Article rédigé par Morane CAPRON, CPGE AL1
Crédits photos : Noor ARCHIMÈDE et Morane CAPRON

Tournage d’un reportage pour le JT de La 1ère TV


Atelier et Collage éphémère avec Tim Frager

Mardi 8 mars, avec le soutien de les élèves de Terminale option facultative Arts plastiques et leur enseignante, Mme PARRA, ont réalisé le collage éphémère de l’œuvre qu’ils ont produite lors de l’atelier avec le plasticien Tim FRAGER, qui s’est déroulé avant les vacances de Carnaval le mardi 15 février.

Photographies du collage réalisé le mardi 8 mars 2022

Les élèves ont créé une mosaïque à base de motifs géométriques et sur laquelle se dessine l’ombre d’un palmier. Cette création célèbre le monde végétal, en particulier les arbres dont la présence dans nos espaces urbains est bien trop souvent fantomatique.

Un atelier a également eu lieu au Collège Richard Samuel de Gourbeyre, dans le cadre de la 5ème édition Art of change qui bénéficie du soutien du Rectorat, de la DAC Ministère de la Culture, de la DEAL Guadeloupe et du Conseil Régional que nous remercions sincèrement.
La 5ème édition Art of change se déroule cette année sur plusieurs mois et proposera différents rendez-vous autour de l’Éducation au développement durable, en particulier lors des journées d’immersion avec les collégiens de 3ème du bassin sud Basse-Terre.

Photographies de l’atelier réalisé le mardi 15 février 2022

Nous vous invitons à lire l’article paru dans France-Antilles le mardi 8 mars au sujet de son œuvre “Un arbre dans la ville”, un collage éphémère et biodégradable de 8 mètres de haut dans la ville de Basse-Terre

Article France-Antilles du 8 mars 2002

Un Arbre dans la ville, collage éphémère et biodégradable de Tim Frager dans Basse-Terre


École ouverte les 21, 22 et 23 février

Nous avons le plaisir de vous communiquer le programme de ” L’ÉCOLE OUVERTE VACANCES DE CARNAVAL DU 21 AU 23 FÉVRIER 2022″.

Si vous souhaitez participer à un ou plusieurs ateliers, merci de bien vouloir vous inscrire en renseignant le formulaire en ligne en cliquant ICI

Les autorisations familiales devront être remplies en ligne à partir de Pronote ou du SITE INTERNET du Lycée Gerville Réache. 

Nous  recherchons 10 élèves intéressés par un projet de “WEB TV pour mieux communiquer”. La 1ère session (gratuite) de formation se déroulera dans le cadre de l’École ouverte, du 21 au 23 février de 8h à 12h au Lycée GERVILLE REACHE. Les inscriptions se feront également en ligne.


Visite de l’entreprise Lesueur pour les BTS MCO 1

Lancement du parcours industriel et commercial : les premières années de BTS MCO du lycée Gerville-Réache visitent l’entreprise LESUEUR et son site de production à Pointe-noire.

Ce mardi 15 février était le lancement d’un parcours de 3 sorties pédagogiques qui permettront à ces étudiants en commerce de suivre le parcours d’un produit :

  • Production
  • Distribution
  • Gestion des déchets

Guidés par Albane LESUEUR, assistante de direction, les MCO ont découvert de manière très concrète la production de la confiture M’amour et du café Lesueur ainsi que les problématiques liées à la gestion de la qualité et la logistique.

Pour l’occasion, les partenaires de l’entreprise étaient également présents avec l’équipe de direction du groupe carrefour GBH, Mesdames Alexis et Larifla de 100.000 entrepreneurs ainsi que Mme Placide représentant la Préfecture.

Les échanges entre les participants ont étés très enrichissants.

La prochaine étape aura lieu le jeudi 10 mars avec la visite des coulisses de carrefour Destreland.


Les CPGE rencontrent l’artiste Nú Barreto

En résidence en Guadeloupe du 6 janvier au 27 février 2022, dans le cadre de la 10e édition Wi’anArt, Nú Barreto sillonne les routes et part à la rencontre des jeunes collégiens et lycéens. De Sainte-Anne à Basse-Terre, en passant par Terre-de-Haut aux Saintes, il anime jusqu’au 18 février des ateliers de pratique artistique autour du thème de la Couleur dans une dizaine de collèges et lycées de l’académie.

Lundi 7 février, les étudiants CPGE 1ère année ECG (Classe préparatoire aux grandes écoles économiques et commerciales) et leurs enseignants, Mme OTVAS et M. DELORT, ont eu le privilège de rencontrer l’artiste plasticien Nú BARRETO tandis que les CPGE AL 1ère année (littéraires) ont également eu cette chance le mercredi 9 février avec leur enseignant d’histoire, M. Gilles DELATRE.

Nous vous invitons à découvrir le reportage réalisé par deux étudiantes CPGE AL1 : Corène Chango et Daena Manicor.


Ces deux rencontres de deux heures chacune ont été l’occasion de découvrir sa démarche artistique et ses créations, en particulier sa série de dessins et collages réalisée au cours du 1er confinement ou sa célèbre série de drapeaux “États désunis d’Afrique“.

Les étudiants ont posé de nombreuses questions et ils ont aimé “lire” ses créations parsemées de symboles propres à l’imaginaire de l’artiste : les chaises bancales à 3 pieds ou les échelles aux barreaux manquants qui symbolisent à leur manière une ascension sociale en panne, les bouteilles fermées ou les rectangles au sol symboles des restrictions sanitaires et de l’enfermement, les mains à la place des pieds ou inversement qui traduisent l’imperfection inhérente aux humains ou, comme aime à le dire l’artiste “les êtres à humaniser que nous sommes”.

Restos, 85,8 x 125,4 x 4 cm / Close, 85,4 x 126,3 x 4 cm / Rejected ! 88,8 x 126,3 x 4 cm 2021 – Collages (carton, papier, tissu), crayon céramique, pastel semi-gras, papier recyclé © Crédit photo : Bertrand Huet / Tutti image – Courtesy de l’artiste et de la Galerie Nathalie Obadia Paris / Bruxelles

Originaire de Guinée-Bissau, Nú Barreto est actuellement considéré comme l’un des artistes majeurs du continent africain.
Né en 1966 à São Domingos, dans le nord de la Guinée Bissau, Nú Barreto s’installe à Paris en 1989. Il suit une formation à l’École de Photographie AEP puis intègre l’école des Gobelins, l’École Nationale des Métiers d’Image à Paris, de 1994 à 1996.
Si le dessin s’est toujours imposé comme le médium de prédilection de l’artiste, sa pratique est résolument contemporaine, à travers des séries mixant différents médias ou de puissantes installations murales.
Choisi pour représenter son pays à l’Exposition Universelle de Lisbonne en 1998, Nú Barreto est représenté par la galerie Nathalie Obadia (Paris – Bruxelles).
Nú Barreto mène aujourd’hui une carrière internationale et incarne une figure majeure de l’art contemporain. Ses œuvres sont présentes dans de grandes collections publiques et privées telles que celle du Museo Capixaba do Negro (Mucane), de la Vitória (Brésil), de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), du musée de Macao (Chine), de la Fondation Pro-Justitiae à Porto (Portugal) ou encore de la fondation PLMJ à Lisbonne (Portugal).

Vues de l’exposition Africa : Renversante, Renversée, Galerie Nathalie Obadia, Paris, 2018 © Crédit photo : Bertrand Huet / Tutti image – Courtesy de l’artiste et de la Galerie Nathalie Obadia Paris / Bruxelles

En 2009, Nú Barreto entreprend une nouvelle série de peintures qui revisitent le drapeau américain sous les couleurs panafricaines. L’artiste y aborde une démarche nouvelle et questionne différents thèmes, notamment celui de la désunion du peuple africain. Œuvre devenue emblématique du travail de l’artiste au fil des ans, États Désunis d’Afrique est une série qui se poursuit aujourd’hui encore, avec l’objectif d’atteindre une trentaine d’œuvres. Du 8 novembre au 29 décembre 2018, était présentée à la galerie Nathalie Obadia une déclinaison de neuf œuvres au sein de l’exposition Africa : Renversante, renversée.
En reprenant la structure du drapeau américain et en faisant référence à l’American Flag de Jasper Johns (1954-1955), Nú Barreto s’inscrit dans une lignée d’artistes qui utilisent la puissance visuelle du symbole afin de mettre en exergue des questions sociétales.

Du 15 avril au 12 juin 2021, l’exposition L’imparfait et l’impératif présentait un ensemble de nouvelles œuvres sur papier recyclé, convoquant aussi bien le dessin que le collage, ainsi qu’un polyptyque de 42 dessins, que l’artiste conçoit comme le carnet de bord de ces derniers mois de pandémie. Saisissante démonstration d’une verve graphique au service d’une vision âpre, ces œuvres expriment autant sur les souffrances du peuple africain que sur la condition humaine, à travers le thème de l’enfermement. De son pays natal, ancienne colonie portugaise, Nú Barreto garde le souvenir d’une éprouvante marche vers l’indépendance puis d’une instabilité politique et militaire ponctuée de nombreux coups d’état. L’artiste porte aujourd’hui un regard lucide et acerbe sur la situation actuelle de la Guinée-Bissau, où ne cessent de s’accroître les disparités socio-économiques. Plus largement, c’est toute la complexité des enjeux qui déterminent les relations entre les différents États africains et l’Occident qui transparaît, sous la forme figurée, à travers la représentation de ses « homos imparfaits ».


Le Club Étudiants Entrepreneurs organise des simulations d’entretien d’embauche

Les étudiants de BTS 2e année ont eu une occasion unique de s’entraîner à l’entrée dans la vie active au lycée Gerville-Réache ce jeudi 20 janvier.

Le CEE (Club étudiants entrepreneurs) leur a proposé des simulations d’entretiens d’embauche avec des recruteurs des différents secteurs communication, gestion finance, commerce, marketing et management.



Les professionnels, venus pour l’occasion, ont parfois dû braver les difficultés de circulation mais se sont tous déclarés très satisfaits de l’expérience.

Ils ont été agréablement surpris par la personnalité de certains candidats et ont pu prodiguer de précieux conseils à ceux qui manquaient encore d’assurance.

En attendant d’être embauchés, les participants les plus convaincants du challenge ont été récompensés de leur prestation par une petite attention du club !


Atelier Wi’anArt des 2nde7 avec Yelow

Jeudi 13 janvier, les 2ndes 7 option Arts plastiques et leur enseignante, Mme Beaujour, ont reçu le street-artist YELOW (Cédric Tran Ngoc), dans le cadre de la 10ème édition Wi’anArt.


L’atelier de pratique artistique était placé sous le signe du portrait, caractéristique des œuvres de l’artiste Yelow. 
Les élèves ont revisité en particulier le portrait de Maryse Condé ou celui de Michelle Obama, à l’aide de symboles et d’un travail sur les couleurs.

Présentation de l’artiste Yelow


Atelier Wi’anArt avec So Aguessy Raboteur

Vendredi 7 janvier, de 14h à 17h,  les 1ères spécialité Arts plastiques et leur enseignant, M. Gorin, ont reçu l’artiste guadeloupéenne So Aguessy Raboteur, dans le cadre de la 10ème édition Wi’anArt. 3
Après un temps de rencontre et d’échanges autour du travail de l’artiste qui croise peinture sur toile et outils numériques, les élèves ont pris part à un atelier de pratique artistique sur le thème de la couleur.

Présentation de l’artiste So Aguessy Raboteur


Exposition “Histoire, Sport et Citoyenneté” au CDI du 4 janvier au 18 février 2022

Du 4 janvier au 18 février 2022, le CDI est heureux d’accueillir l’exposition Histoire Sport & Citoyenneté : Des Jeux Olympiques d’Athènes 1896 aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, avec le concours de la CASDEN.
30 affiches, format 60 x 80 cm, retracent l’histoire de 30 Olympiades, à travers le parcours de 30 athlètes exceptionnels et emblématiques des valeurs du sport et de l’olympisme.
Le site internet dédié casdenhistoiresport.fr permet de compléter chaque panneau de l’exposition en proposant quelque 250 vidéos d’archives, des portraits, une bibliographie et les chiffres clés des 30 Olympiades.
Un livret pédagogique est également disponible en ligne. Vous pourrez accéder aux réponses du livret à l’aide d’un code confidentiel (réservé aux enseignants) à demander aux responsables du CDI.



Nous vous invitons à découvrir la vidéo de présentation de l’exposition :