Information aux parents des élèves demi-pensionnaires ou internes

En date du 6 juin 2018, tous les avis aux familles présentant une charge à payer ont été adressés aux intéressés soit par mail soit par courrier.

Nous insistons sur le fait que le montant dû sur cet avis doit être réglé au plus tard le
21 juin prochain.

ATTENTION !

Pour les élèves qui ne seront pas à jour après cette date, les conséquences seront les suivantes :

 Ceux qui vont quitter définitivement l’établissement ne se verront remettre aucun document,

 Ceux qui souhaitent bénéficier d’une place à l’internat ou se réinscrire à la demi-pension à la rentrée 2018-2019 verront leur demande rejetée.

élèves demi-pensionnaires ou internes


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Rencontre et Atelier d’écriture avec Makenzy Orcel

Jeudi 28 novembre, , à l’occasion du Festival Écritures des Amériques, l’écrivain haïtien Makenzy Orcel a d’abord échangé avec la classe de 2nde 1, en présence de Miguel Bonnefoy, puis il a animé un atelier d’écriture à destination d’un groupe volontaire d’élèves de Seconde 1 et Terminale L1 et leurs enseignantes de Lettres, Mmes Marot et Bousquet.

Rencontre avec Miguel Bonnefoy et la classe de Seconde 1

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Atelier d’écriture

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Rencontre avec l’écrivain Miguel Bonnefoy

Nous vous invitons à lire l’article de l’étudiante de CPGE AL1 Edith Varin, à propos de la rencontre avec l’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy, à l’occasion du Festival Écritures des Amériques :

Miguel Bonnefoy, auteur de Sucre Noir a charmé nos étudiants avec sa plume.

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À l’occasion du Festival des Écritures des Amériques, les étudiants de la Prépa Littéraire ont accueilli chaleureusement le jeudi 21 novembre, Miguel Bonnefoy, écrivain franco-vénézuélien venu partager ses ambitions romanesques et s’entretenir avec les étudiants, à propos de son deuxième roman, Sucre Noir, publié en 2017 aux éditions Rivages.

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Le jeune écrivain a répondu à de nombreuses questions, non seulement celles portant sur le récit mais aussi sur ses racines et sa jeunesse. Nous étions tous captivés et en admiration devant son éloquence. Miguel Bonnefoy nous a fait sourire avec ses anecdotes et nous incitait à lui poser des questions pertinentes sans cesse.

 “ Je n’ai pas vu le temps passer ” a déclaré une de nos étudiantes.

 “ C’est un auteur passionant et cultivé, il possède beaucoup de charisme ”

 “ Je n’ai pas lu son livre malheureusement mais j’ai aimé la rencontre littéraire. Il faudrait que l’on fasse ceci plus souvent ”

 “Miguel Bonnefoy répond avec beaucoup d’enthousiasme, il nous a expliqué ses choix d’écriture et aussi ses influences littéraires ”

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L’échange fût interrompu à trois reprises afin d’écouter des extcesse de Sucre Noir lu par un étudiant puis nos deux animatrices ont poursuivi l’entretien.
Ainsi, ces deux heures avec Miguel Bonnefoy furent très enrichissantes. Nous étions tous satisfaits ainsi que nos professeurs, Madame Pouzet et Madame Cruces. À l’issue de la rencontre, nous avons eu l’opportunité de faire dédicacer nos livres et de prendre des photos avec Miguel Bonnefoy. Ce dernier nous a remercié et est réparti le sourire aux lèvres, nous laissant sous l’émotion et débordants de joie.


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Rencontre avec l’écrivain colombien Santiago Gamboa

Nous vous invitons à lire l’article de l’étudiante de CPGE AL1 Chloé Ramsamy, à propos de la rencontre avec l’écrivain colombien Santiago Gamboa, à l’occasion du Festival Écritures des Amériques :

“Ce vendredi 22 novembre, nous avons eu la chance de pouvoir échanger avec Santiago Gamboa, un auteur colombien dans la cadre du Festival Écriture des Amériques. L’écrivain y présentait ses deux derniers romans, Retour dans l’obscure vallée et Des hommes en noir. Au cours de l’échange nous avons découvert un homme cultivé, intelligent, fin connaisseur de son pays, la Colombie, et lucide sur les problèmes de ce dernier.

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Avant de commencer, il (l’auteur) a pris le temps de nous rappeler que, comme lui, nous sommes américains et que, comme nous, il est un caribéen. Puis l’échange a débuté et parmi les différents thèmes abordés, il y avait notamment celui du pouvoir des églises évangéliques, très influentes en Amérique latine, et donc aussi en Colombie, à la fois dans la vie quotidienne et en politique. La politique est l’autre point sur lequel nous nous sommes attardés, Santiago Gamboa s’étant d’ailleurs félicité du fait que la rue soit devenue un lieu politique, donnant naissance à une nouvelle citoyenneté. Enfin, avec beaucoup de franchise et de sincérité, Santiago Gamboa nous a parlé de son pays, la Colombie, “pays aristocratique” qui, selon ses propres termes n’a connu pour seul changement social que le narcotrafic. C’est pourtant dans son pays natal que l’auteur, après 30 ans d’absence est retourné tout récemment. Ce retour au pays, Santiago Gamboa l’a évoqué le soir (à la médiathèque Caraïbe Bettino Lara de Basse-Terre), en utilisant cette jolie formule selon laquelle “le seul endroit où l’on peut retourner est la littérature”. ” Un retour n’en est jamais un puisque celui qui retourne et le lieu même ne sont plus les mêmes !”
Les deux rencontres furent extrêmement enrichissantes, à la hauteur du talent de cet écrivain. “