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Projection – Débat avec le réalisateur Mike HORN

Mercredi 16 mai 2018 de 10h à 12h, les étudiants hypokhâgnes ont eu le privilège de rencontrer le réalisateur Mike Horn, venu spécialement au lycée pour la projection de son documentaire : Mai 67, ne tuez pas les enfants de la République (durée : 50 min).
Mike HORN se penche « sur le silence » de la répression de mai 67 en Guadeloupe.
« Mai 1967 : un secret d’histoire, un tabou familial… Mike Horn, réalisateur, reconstitue le puzzle de ces événements dont il a entendu parler il y a seulement six ans, un peu par hasard, au détour d’une conversation. Il revient donc sur les lieux en Guadeloupe, à Pointe-à-Pitre, place de la Victoire… où tout a commencé par une grève d’ouvriers du bâtiment qui paralyse l’île. Il tente de comprendre pourquoi ce silence, encore aujourd’hui… et de transmettre ce morceau d’histoire aux nouvelles générations.»
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[[Documentaire à voir en Guadeloupe en présence du réalisateur jeudi 17 mai au MACTe à 19H et à revoir sur France O, dimanche 20 mai 2018 à 23h45.]]


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6ème édition 2017/2018

KG3.jpg La 6ème édition Wi’anArt, inédite dans sa forme, a débuté avec l’exposition collective Kréyòl G(ART)DEN sur les extérieurs du Mémorial ACTe du 17 décembre au 31 mars 2018 en réunissant 16 artistes plasticiens : Ano (Eddy Firmin), Atadja Léwa (Audrey Phibel), Minia Biabiany, Jean-François Boclé, Collectif Rip’Art (Félie Line-Lucol et Patrice Léopoldie), Ronald Cyrille (alias B.Bird), Joëlle Ferly, Guy Gabon, Diane Hugé, Jean-Marc Hunt, François Piquet, Laurence Roussas, Etienne Roussas, Kelly Sinnapah Mary et Philippe Virapin.

Kréyòl G(ART)DEN

L’exposition, dont le vernissage a eu lieu avec deux performances artistiques, proposait au public un parcours original uniquement sur les extérieurs du Mémorial ACTe. Présentée dans l’espace public, l’exposition était en accès libre et gratuit jusqu’au 31 mars 2018.
Depuis la Place de la Commémoration jusqu’à l’entrée du Musée, sur la passerelle du Morne Mémoire, le bord de mer ou sur les façades noires du Mémorial ACTe, étaient disposés des œuvres in situ qui entraient en résonance avec le Mémorial ACTe et tout ce qu’il représente, un lieu de mémoire mais aussi un centre caribéen d’expressions : Agrandissements photographiques, installations ou sculptures monumentales, pièces anciennes ou nouvellement créées par les artistes pour mettre en perspective l’aspect mémoriel et historique mais aussi pour interroger nos réalités contemporaines, qu’elles soient d’ordre artistique, culturel, social ou économique.

Kréyol G(ART)DEN sur ATV Guadeloupe from Wi’anArt on Vimeo.

Cliquez sur l’image ci-dessous pour visionner l’album en ligne

Rhizomes.jpg L’exposition Kréyòl G(ART)DEN a fait l’objet de nombreuses visites guidées. L’exposition a également constitué un support de réflexion aux ateliers en milieu scolaire animé par l’un des artistes dans les 26 écoles, collèges et lycées de la Guadeloupe inscrits cette année, du Moule à Basse-Terre, de Port-Louis à Grand-Bourg de Marie-Galante en passant par les Abymes, Capesterre Belle-Eau, Pointe-Noire, Gosier, Pointe-à-Pitre, Goyave, Gourbeyre, Bouillante, Sainte-Anne et Baillif.
La restitution des ateliers scolaires s’est ouvert le Vendredi 18 mai 2018 au Mémorial ACTe autour d’un thème fédérateur, en hommage à Édouard Glissant :

Rhizomes

Rhizomes from wianart gwada on Vimeo.

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Rencontre avec l’historien Nicolas BANCEL

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Vendredi 21 septembre 2018, sur invitation du Mémorial ACTe, les 30 étudiants d’hypokhâgnes du Lycée Gerville Reache, accompagnés de leurs enseignants d’Histoire (Gilles Delatre) et d’Espagnol (Mireille Cruces), ont pris part à la conférence-débat de l’historien Nicolas BANCEL sur le thème “L’invention de la
race”.
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Nicolas Bancel est un historien français, spécialiste de l’histoire coloniale et post-coloniale française, professeur à l’Université de Lausanne, faculté des Sciences sociales et politiques, Centre d’histoire internationale et d’études politiques de la mondialisation (CRHIM), co-directeur du Groupe de recherche Achac.
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Cette rencontre a permis d’enrichir le débat en poursuivant le travail fait à partir de l’exposition temporaire “Zoos humains. L’invention du sauvage”.
Nous vous proposons de lire le texte de Leinz MODESTE – sélectionnée parmi les contributions des étudiants – qui ont toutes en commun d’être marquées par un sentiment d’indignation et de la nécessite du devoir de mémoire”

LE RACISME — Ses origines, ses théories, ses représentations — POUR QUOI FAIRE ?

Lettre au racisme
Ô Racisme, ô idéologie morbide qui ose classer les êtres humains dans des races, sur la base de critères physiques ! Toi, fléau des nations et des siècles !
D’où viens-tu donc ?
Tu as pris tes origines chez les Grecs qui depuis l’Antiquité se distinguaient des barbares, métèques et esclaves. Tu as continué ton avancée au XIVe siècle avec les nobles européens qui affirmaient leur lignée de sang, différente de celle du bas-peuple.
Mais, toi peste incurable ou presque, tu n’as été réellement impulsée qu’à partir du XVIIIe siècle, et notamment avec les Encyclopédies de Buffon et de Linné durant le fameux siècle des Lumières…
D’une part, Buffon pensait qu’il n’existait qu’une seule espèce humaine originaire de la croyance chrétienne d’Adam et Ève. Mais cela ne s’est pas arrêté là… Il a fallu aller plus loin… et Buffon s’est mis à classer les Êtres Humains dans des groupes différents qu’il a nommés « races ». Il a ensuite rajouté que la « race blanche » venue d’Europe était la moins dégénérée de toutes, grâce aux conditions favorables de ce continent.
D’autre part, Linné et son polygénisme, considérait lui aussi l’existence de plusieurs races, et même d’une race monstrueuse (avec par exemple la légende des hommes à queue de Sumatra), mais il a été le premier à considérer l’existence de plusieurs espèces d’Hommes par rejet de la théorie adamique.
C’est donc à partir de là que toi, racisme si bien connu aujourd’hui, tu as commencé à prendre une réelle ampleur et à réordonner les sociétés occidentales.
Mais si seulement ces Encyclopédies n’avaient apporté que deux théories… Non, il a fallu que d’autres penseurs légitiment cette idéologie raciste et créent de nouvelles théories sur le sujet !
Quelles sont ces théories qui te constituent et te légitiment ?
Les races qui sont la base de ton existence, ont été créés à partir d’un besoin de classer les êtres vivants. La classification raciale était d’ailleurs bien plus avancée chez les animaux d’élevage et les fruits et légumes, et se basait sur des caractéristiques physiques. C’est là selon l’historien Nicolas Bancel, que se trouve le noeud qui sous-tend la classification raciale puis la hiérarchisation raciale chez les Hommes.
Le premier critère de séparation a été la couleur de peau et bien sûr tous les préjugés primaires ancrés dans les mentalités qui vont avec. C’est ce qui est théorisé par Buffon comme « réversibilité des caractères » et qui affirme qu’une zone détermine les capacités d’une « race ».
Puis des scientifiques ont calculé certains traits corporels humains afin de hiérarchiser les différentes « races ». Racisme… tu étais déjà admis dans les mentalités de l’époque.
On pense à Johann Caspar et au hollandais Petrus Camper qui ont élaboré la théorie selon laquelle plus l’angle facial est fermé était la plus primaire.
Ensuite, on connaît la craniologie de Paul Broca au XIXe siècle, qui après vérification quelques années après sa publication s’est avérée totalement fausse. En effet, le chercheur, a voulu mesurer le volume des crânes des différentes races, et a conclu que le crâne avec le plus grand volume était celui de la « race blanche » et que celui-ci diminuait de plus en plus jusqu’à la « race noire » qui avait donc le plus petit volume et par conséquent celle avec le moins de capacités intellectuelles. Malgré le démenti, toi racisme n’a pas flanché et tu t’es relevé sans égratignures.
Enfin, tu as été représenté de diverses manières. Quel que soit leur nom : Exposition coloniale, Exposition universelle ou encore villages itinérants ; les zoos humains étaient le haut lieu du racisme. La toute première exposition dans laquelle sont apparus des enclos réellement visibles de « populations sauvages » est l’Exposition universelle de Londres en 1851. Puis s’en est suivi un goût particulier pour le « sauvage » et ce, dans tous les grands pays et grandes villes du monde entier : Paris, Londres, le Japon ou encore à Saint-Louis aux États-Unis avec ses Jeux anthropologiques racistes. Et toute cette représentation horrible, ces zoos humains transformés en lieux de travail (les peuples recevaient un salaire) avec des conditions ignobles, se sont poursuivis jusqu’en 1937, ce qui montre bien l’ampleur du phénomène.
Mais pour quoi faire ? À quelles fins as-tu été aussi développé, racisme ?
Selon Claude Lévi-Strauss dans son livre Race et Histoire, il a fallu que tu existes afin de légitimer cet infâme asservissement qu’a été l’esclavage et qui a sévi au grand jour dans les colonies des puissances européennes pendant de longues décennies. Toi, racisme, tu apparais donc comme la condition d’existence de l’esclavage. Car en affirmant l’infériorité raciale d’une civilisation sur une autre, il est alors plus simple et plus moral de mettre la première au service de la seconde plus puissante.
Un étudiant indigné par l’Histoire humaine.”

Cette contribution de Modeste Leinz est en ligne sur la page Facebook du Mémorial ACTe
https://www.facebook.com/memorialacte/photos/a.620475124717154/1858947404203247/?type=3&theater


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7ème édition 2018/2019

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Une éducation artistique de qualité nécessite de trouver un bon équilibre entre l’enseignement théorique et la pratique artistique sans oublier, si possible, de prévoir une approche physique et sensible des oeuvres et des artistes.
Depuis 2012, la manifestation Wi’anArt s’efforce d’organiser dans les établissements scolaires la rencontre avec des artistes contemporains, leurs oeuvres et leur démarche artistique, participant ainsi à promouvoir le patrimoine guadeloupéen et, plus largement, caribéen.

Pour la 7ème édition Wi’anArt, les 28 établissements scolaires participants
recevront entre novembre 2018 et mars 2019, la visite des artistes Anaïs Verspan, Samuel Gelas et Ronald Cyrille alias B-Bird qui animeront séparément un atelier de pratique artistique sur une thématique commune :

Conter, se raconter

L’exposition de restitution finale se fera à L’Artchipel du 17 mai au 10 juin 2019, vernissage le vendredi 17 mai de 16h à 19h.
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Un premier rendez-vous est proposé à l’Habitation Beausoleil de Saint-Claude, sur invitation du Conseil Départemental à la manifestation Kréyol an mouvman, avec une exposition dans le jardins en prolongement de Kréyol G(ART)DEN présenté au Mémorial ACTe du 17 décembre 2017 au 31 mars 2018.


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Rencontre avec Yohan Pisiou

Jeudi 18 octobre, quelques heures avant la représentation pour les scolaires prévue le lendemain, trois élèves de Terminales option facultative Arts plastiques ont pu rencontrer au CDI le comédien Yohan Pisiou à propos de la pièce SAMO a tribute to Basquiat, hommage à l’artiste peintre noir américain Jean-Michel Basquiat.
Pendant près d’une heure, Halyssone Amédien, Dorine Clavier et Charles Romney Rodriguez ont ainsi pu échanger avec le comédien sur le contenu de la pièce, les choix de mise en scène par Laëtitia Guédon, l’écriture de Koffi Kwahulé et son rapport personnel avec l’artiste Jean-Michel Basquiat, alias SAMO.

Rencontre avec Yohann Pisiou from Réache Gerville on Vimeo.

Au terme de la rencontre, Halyssone, Dorine et Charles ont rédigé un article destiné au journal France-Antilles et mis en ligne sur le site internet de L’Artchipel. Nous vous invitons à le découvrir ci-dessous :

SAMO à L’Artchipel, un cœur qui bat

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SAMO est le pseudonyme avec lequel Jean-Michel Basquiat, alors inconnu du grand public, signait ses premiers graffitis dans les rues de New-York.
SAMO est aussi le titre de la pièce de Koffi Kwahulé jouée pour la 1ère fois au tout public en Guadeloupe ce samedi 20 octobre à L’Artchipel (20h).
SAMO, a tribute to Basquiat est une représentation visuelle et musicale qui nous plonge au cœur de la période d’errance de l’artiste dans un New-York brûlant et baigné de culture jazz et hip-hop. Ce spectacle vivant d’1h15 nous fait découvrir ou revivre l’artiste avant-gardiste à travers quatre interprétations qui sont autant de facettes du personnage : ses paroles, poésies et slogans incarnés par le comédien Yohann Pisiou, ses mouvements et son corps errant incarnés par le danseur Willy Pierre-Joseph, son univers musical interprété par le musicien Blade Alimbaye et une quatrième conscience, plus poétique, que nous vous laissons le soin de découvrir en allant voir le spectacle.
Dans cette pièce mise en scène par Laëtitia Guédon (Compagnie 0.10), ces différentes interprétations doivent se synchroniser parfaitement, comme nous le confie le comédien Yohann Pisiou : « Le spectacle est comme un cœur qui bat à l’unisson. Pour que tout le plateau soit Basquiat, nous devons jouer la même partition tel un quatuor.» Yohann Pisiou rajoute : « Samo est une œuvre avec un auteur majeur (Koffi Kwahulé). S’intéresser à Basquiat, c’est s’intéresser à l’histoire d’un artiste qui a investi le monde contemporain d’une façon engagée dès ses débuts. Pour moi, Basquiat est un héros de l’histoire noire ».

Basquiat est célèbre pour ses graffitis et ses peintures expressionnistes, connu pour avoir fait partie de la scène underground new-yorkaise des années 80 aux côtés d’Andy Warhol. Il est souvent symbolisé par sa coupe de cheveux caractéristique, reprise d’ailleurs dans l’affiche du spectacle SAMO. Selon Yohann Pisiou, « les cheveux, dans leur simplicité, sont un signe identitaire fort. Ils nous définissent de par leur origine et leur style. Ils font grandement partie de la vie de Jean-Michel Basquiat. »


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Projection Films Varan Caraïbe

Avec le concours des ateliers Varan Caraïbe et de la Mairie de Basse-Terre, le Lycée Gerville Réache a organisé le Jeudi 25 février 2016 à l’Auditorium Jérôme Cléry de Basse-Terre une projection-débat de 5 films documentaires récemment réalisés en Guadeloupe.
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La projection de 14h réservée à un public scolaire a rassemblé 284 élèves. Outre 3 classes du Lycée Gerville Réache, étaient présents des élèves des collèges Germain St-Ruf de Capesterre Belle-Eau, Rémy Nainsouta de Saint-Claude, Suze Angely de Vieux-Habitants et du Lycée Raoul-Georges Nicolo de Basse-Terre.
Les films documentaires projetés appartiennent au cinéma du réel, cher au célèbre cinéaste et ethnologue français Jean Rouch, fondateur des ateliers Varan. Ils témoignent d’une réalité sociale et culturelle sans fard ni détours : survie de la pêche en Guadeloupe et difficultés grandissantes face au chlordécone et aux sargasses (Black Kiss de Mariette Monpierre), nécessité de partir ou pas de la Guadeloupe pour un jeune en quête d’un travail, d’une perspective d’évolution de carrière ou de son bien-être personnel (Partir ou pas d’Axel Michineau), quitter le cocon familial pour suivre des études en internat (W ou le passage de Philippe Virapin), la vie d’une rue emblématique de Pointe-à-Pitre et les petites-gens qui la composent (Rue Vatable de Mélissa Issorat), la question de la maternité et notre rapport naturel à l’eau comme source de vie et de bien-être (La montée des eaux de Guy Gabon).
Les réalisateurs ont pu ainsi échanger avec le public présent et répondre aux questions des jeunes.
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Retour sur le Prix Carbet des Lycéens 2016

Mercredi 4 mai 2016, l’auteur colombien Juan Gabriel Vasquez est venu salle Laura Flessel, à Petit-Bourg se voir remettre son Prix par le Jury des Lycéens de la Guadeloupe, de la Guyane et de la Martinique en compagnie, de la Marraine de l’édition Léna Blou. Il a traversé les océans et a tenu à être présent pour recevoir son Prix et souligner les liens forts entre l’Amérique latine et la Caraïbe.
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Le Lycée Gerville Réache a proposé deux prestations artistiques de qualité parmi un programme culturel alléchant : Danse salsa, Lectures théâtralisées, défilé de mode écologique cadencé et chants.
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 Une version acoustique de Trucs de fous d’ E. Sy Kennenga avec à la guitare Alexis D. (1ère ES1) et au chant Céline R. (Term S1)
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– Une lecture à 5, des voix d’Alexandre, d’après le roman Je suis vivant de Kettly Mars par Tessa R., Janycia A., Maeva C., Chloé L. et Jonah B.(1ère ES1)

Tessa R. n’est pas repartie les mains vides puisqu’elle a également reçu le 3ème Prix du Concours littéraire pour sa critique de Je suis vivant de Kettly Mars.

La classe de 1ère ES1 avec leur professeur de lettres, Mme Clodine-Florent s’est engagée dans le contrat de lecture proposé par l’Association Arts Lycéens.

Un pari relevé, puisqu’avec la lecture des 6 ouvrages d’auteurs caribéens, les élèves ont également rencontré et posé des questions via Skype à l’écrivaine haïtienne Kettly Mars, traduit leurs lectures de façon numérique par des cartes mentales littéraires dont voici le plus bel exemple.

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Un bel effort dans la réflexion littéraire, pour une classe de 1ère ES1 qui s’est prêtée au jeu de belle manière et est entrée dans cette interrogation de l’homme et du monde que permet la littérature.

Mille mercis à l’association Arts Lycéens du Lycée de Petit Bourg et aux enseignants (Mmes Clodine-Florent, Muro et Limery) encadrants et merci encore à Mme Hardy pour avoir sauvés les naufragés de la route lors de notre retour épique.

Pour en savoir plus sur J. Gabriel Vasquez, vous pouvez consulter l’article complet que lui a consacré le France-Antilles daté du mercredi 4 mai 2016.