Nous vous invitons à visionner le reportage réalisé pour ETV
Et à découvrir l’article publié sur le site de RCI Guadeloupe (en cliquant sur la photo ci-dessous)
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Mardi 23 février, dans le cadre du programme “Art of change” d’éducation au développement durable, les élèves de terminale en SES (Sciences Économiques et Sociales) et leur enseignant, M. PIERRE-ANTOINE, ont bénéficié de l’intervention de deux représentantes du pôle d’innovation Synergîle.
Krista VIRGINIE, responsable du pôle écologie industrielle et territoriale (EIT), et Anne-Laure FRENET, chargée du réseau bâtiment durable, ont animé un
atelier de sensibilisation et d’information sur les écogestes en utilisant un quiz interactif en ligne, à la fois ludique et stimulant : Les élèves organisés en équipes de 3 ou 4 avaient à cœur de répondre juste pour bien figurer dans le classement final.
Trois domaines ont ainsi été abordés d’un point de vue global ou territorial, à travers des gestes simples du quotidien :
Les missions du pôle d’innovation Synergîle, basé en Guadeloupe, sont de développer la connaissance et la valorisation de la recherche, de stimuler l’innovation technologique et les transferts de technologies entre les entreprises ainsi que de travailler en synergie avec les autres observatoires régionaux pour mutualiser les connaissances et savoirs-faire.
Vendredi 5 février, entre 9h45 et 12h, un groupe d’élèves et étudiants éco-délégués du Lycée Gerville Réache a organisé une opération intitulée : Changeons les règles !
Initiée par Maiwen DUFOUR-GERARD, étudiante en classe préparatoire économique et commerciale (CPGE ECE), cette opération n’était pas un appel à la révolte mais bien plutôt le mot d’ordre choisi par les éco-délégués pour :
Annoncer la mise en place à l’infirmerie d’un distributeur de protections hygiéniques 100% biodégradables (en référence au slogan du fabricant Marguerite & Cie) pour lutter contre la précarité menstruelle qui touche en France 1 étudiante sur 5 ! Le Lycée Gerville Réache sera ainsi le 1er établissement scolaire en Guadeloupe à proposer un tel dispositif pour ses élèves et étudiantes.
Briser le tabou des règles et les questions qui les entourent : Mieux connaître le phénomène physiologique des règles / Syndrome prémenstruel / Endométriose / Croyances et superstitions autour des règles / Protections hygiéniques / Précarité menstruelle.
Une série de 7 affiches était visible dans le lycée depuis le début de la semaine pour sensibiliser les élèves et étudiants et leur permettre de répondre aux questions posées lors du quiz animé par Maiwen durant la récréation de 10h.
Pour chaque réponse juste, un t-shirt à gagner avec un visuel spécialement créé pour l’occasion par Yohana BILBA, élève de terminale.
5 élèves de l’option Théâtre du lycée ont débuté la récréation par une scénette théâtrale très juste et drôle sur le tabou des règles (vidéo ci-dessous).
Des photographies réalisées par les élèves étaient également exposées dans la cour d’honneur et sur le portail d’entrée du lycée.
Au terme de la récréation, Fabienne DONDAS et Philomène BICEP-BELFORT, la Présidente et vice-Présidente de l’association Karukéra Endométriose sont intervenues entre 10h15 et 12h auprès de la 2nde 2 et leur enseignante Mme BALTZER puis de la 1ère ST2S et leur enseignante Mme FARNABE SAINT-MAXIMIN, afin de les sensibiliser sur cette maladie chronique encore méconnue et pourtant fort répandue. Outre les douleurs parfois très handicapantes, l’endométriose peut, si elle est mal diagnostiquée, sérieusement compromettre les chances d’avoir un enfant.
Nous espérons que cette belle initiative de nos jeunes lycéennes, largement relayée par les médias, contribuera à lever le voile sur un sujet souvent tabou, notamment à l’école, et permettra de donner des idées à d’autres établissements scolaires…
Mardi 26 janvier, de 10h à 12h, les responsables de Glan’Market et Kréyol Pailles étaient au lycée Gerville Réache pour présenter leur entreprise à impact positif et échanger avec 2 classes de 3ème du collège de Bouillante et les étudiants en 1ère année BTS Communication et Management Commercial Opérationnel, accompagnés de leurs enseignantes Mmes A. Gros, M.P. Heisel, D. Curier et K. Condo.
Glan’Market était représentée par Clessy BLANQUET, Présidente – Directrice générale, et Shani BOUVRY, ancienne étudiante CPGE ECE au Lycée Gerville Réache, tandis que Kréyol Pailles était représenté par Boris BOURDON, son président fondateur.
En fin de rencontre, un quizz a été proposé aux élèves et étudiants
Cette rencontre a été organisée dans le cadre du programme Art of change, un projet pédagogique d’Éducation au Développement durable, qui bénéficie du soutien de la DEAL Guadeloupe, de la DAC, du Conseil Régional, de la Préfecture et du Rectorat.
Nous vous invitons à découvrir le reportage réalisé par RCI Guadeloupe :
Première plateforme collaborative numérique aux Antilles-Guyane, Glan’Market propose une solution gagnant-gagnant contre le gaspillage alimentaire. Elle permet aux consommateurs d’identifier près de chez eux des commerçants qui souhaitent vendre leurs invendus ou les produits dont la DLC (Date limite de consommation) est proche.
Créée en 2020, Glan’Market est une réponse à une situation qui ne peut plus durer : chaque Antillo-Guyanais jette entre 12 et 15 kg d’aliments par an, cela représente 80 000 tonnes par an de produits consommables jetés ou gaspillés par an.
Kréyol Pailles est l’unique spécialiste de la paille biodégradable et comestible pour boissons aux Antilles-Guyane.
Projet ambitieux imaginé par son fondateur Boris Bourdon, Kréyol Pailles développe de nombreuses solutions alternatives aux pailles en plastique : Comestibles aromatisées Sorbos (fraise, citron vert, gingembre…), “Kana paille”en fibre naturelle de canne à sucre, “Avo paille” à base de noyaux d’avocat et “Panza paille” en pâte alimentaire de Panzani.
Jeudi 21 janvier, ont débuté les journées d’immersion au lycée pour les collégiens de 3ème du bassin sud Basse-Terre, avec les élèves de la 3ème Mimosa de Joseph PITAT. Le lycée Gerville Réache recevra plus de 400 collégiens de 3ème d’ici au 8 mars 2021.
Ces journées d’immersion sont l’occasion pour les collégiens de découvrir le lycée et ses formations mais aussi de prendre part à des ateliers en lien avec l’Éducation au Développement Durable (EDD).
Parmi les activités proposées jeudi 21 janvier, l’artiste plasticienne Laurence ROUSSAS a animé des ateliers de Tataki Zomé (du japonais tataki : marteler et zomé : teindre), une technique japonaise d’impression de végétaux sur tissu grâce aux tanins contenus dans les feuilles ou les fleurs. Cette technique, aussi utilisée par les Indiens Cherokee, est également appelée leaf-pounding, de l’anglais leaf, feuille et pound, marteler.
Après avoir reçu les consignes de l’artiste, les élèves ont “imprimé” sur un carré de tissu de 20cm x 20cm des végétaux à l’aide de petits marteaux plats. Ils ont ensuite dessiné ou rehaussé de couleurs les empreintes obtenues à l’aide de crayons et feutres indélébiles. Enfin, les carrés de tissu ont été assemblés par les élèves dans le but de réaliser une grande fresque.
Ces ateliers ont été l’occasion de découvrir une technique ancestrale, de sensibiliser les élèves à la biodiversité et de participer à la réalisation d’une fresque collective.
Les journées d’immersion au lycée et le projet pédagogique Art of change bénéficient du soutien financier de nos partenaires :
→ Rectorat et Préfecture de la Guadeloupe (Cordées de la Réussite)
→ DAC Ministère de la Culture
→ DEAL Guadeloupe
→ Conseil Régional
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Jeudi 7 janvier, de 14h à 16h, les 85 élèves des classes de 2nde9, 1ère G8 et Terminale HLP et leurs enseignantes, Mmes V. Modanèse, N. Volpi et M. Chastang ont assisté avec bonheur à la représentation de la pièce Touche-moi de Charlotte Boimare et Magali Solignat.
Les 120 élèves présents dans la salle ont beaucoup ri et ont été impressionné par l’interprétation de la comédienne Magali Solignat qui, seule sur scène, réussit le tour de force de jouer dans la pièce de 55 minutes pas moins de 14 personnages différents !
Nous remercions sincèrement pour cette belle opportunité le Collège Richard Samuel qui a organisé la résidence en Guadeloupe de l’auteure et comédienne Magali Solignat, avec le concours de la DAC Ministère de la Culture, ainsi que la Mairie de Basse-Terre qui a mis gratuitement à notre disposition la salle de l’Auditorium Jérôme Cléry.
TOUCHE-MOI est une pièce de théâtre qui avait fait l’objet d’une résidence d’écriture en 2012 à L’Artchipel.
RÉSUMÉ – Rosa, une jeune pianiste de trente ans, attend Capucine – son élève – assise devant le clavier d’ivoire et d’ébène. Mais l’enfant a mieux à faire avec sa console. Alors, plus les minutes d’attente s’envolent, plus Rosa plonge profond en elle-même, nous entraînant avec elle dans le tourbillon des réflexions, dans les méandres des angoisses et des rapports maternels, dans les bourrasques des remises en question et des manques de confiance en soi. Elle désire surtout casser les schémas très anciens qui la lient autant à sa mère qu’à ses complexes.
Le complexe. Le complexe peut supprimer ou ralentir toute possibilité de réaction, ou toute activité chez quelqu’un. Les complexes naissent souvent à l’adolescence. Mais d’où viennent-ils et ou s’enracinent-ils ? Le complexe se pose en empêcheur d’être aimé en empêcheur de trouver sa place parmi les autres. Un exemple : « Je suis trop grosse pour être aimée » . Notre personnage Rosa Moi est complexée par ses fesses qu’elle dit « monstrueuses » , car elle s’est construite avec le regard de sa mère lui imposant une paire de fesses énormes, par honte et jalousie. Les complexes naissent à l’adolescence, période où les émotions changent intensément, on devient plus fragile, plus sensible aux remarques et au regard de l’Autre.
La relation mère-fille. La partie qui se joue entre une mère et sa fille est déterminante pour le devenir de la fille. Pourquoi les relations mère – fille sont-elles toujours décrites sous un jour difficile et complexe ? Et pourquoi ne sont-elles pas valorisées comme les liens que peuvent unir les pères à leur fils ? Pour les filles, impossible d’échapper à leur mère, on se construit toujours par rapport à elle que ce soit en miroir ou en opposition, c’est notre premier modèle. Si la maternité est une affaire de transmission ça n’est pas seulement sur le plan biologique, c’est aussi la transmission de l’identité de la mère. Une mère jalouse empêche sa fille de trouver sa place et d’avancer.
Questions existentielles. Rosa Moi jeune femme de trente ans s’interdit le succès, freine et éteint son désir de vivre et de se réaliser, pour ne pas être plus heureuse que sa mère, ne pas perdre son amour, rester sa toute petite fille. Quel est le poids de la relation mère – fille dans la construction d’une jeune femme ? Rosa osera-t-elle devenir une femme ? Acceptera-t-elle son corps en le trouvant beau ? Se réalisera-t-elle professionnellement ? N’aura-t-elle plus peur de réussir ? Aura-t-elle à son tour l’envie d’être mère ?
Pourquoi ce sujet ? Nous avons eu envie de chercher les freins qui empêchent de se réaliser et connaître les barrières qu’on s’impose tout seul. Apprivoiser nos peurs pour apprendre à vivre avec, ou s’en débarrasser. Une fois de plus, la question du poids de la relation mère /fille dans la construction d’une jeune femme, aussi bien dans sa réussite professionnelle que dans ses premières amours, jusqu’ à sa maternité , nous a habitées pendant toute notre écriture. Ce sont deux thèmes qui nous touchent tout particulièrement. Nos parcours de vie, notre enfance et surtout notre adolescence, période critique dans la construction du futur adulte que nous seront , ont été hantés par le complexe. Complexes résultant de réflexions faites par l’entourage, mais également complexes liés à une sorte d’image idéale à laquelle nous voulions à tout prix ressembler parce que nous n’avions pas confiance en nous. C’est là que le regard de la mère prend tout son sens puisque c’est le premier regard grâce auquel l’enfant va se construire. L’une ou l’autre, nous nous sommes senties pendant l’adolescence, très complexées par nos fesses ou nos cuisses, au point d’être totalement inhibées et déstabilisées dans certaines situations. C’est grâce à différentes rencontres et à des regards aimants que nos peurs se sont dissipées.
Pourquoi ce titre ? Le titre Touche moi fait écho aux touches du piano, objet à travers lequel se jouent tous les conflits, les humiliations, mais aussi les vibrations et l’amour fusionnel de la mère de Rosa pour sa fille. Le piano, qu’elle fait pour faire plaisir à sa mère qui ne l’a jamais touchée, devient le masque de tous ses désirs. Phrase très intime, qui peut rendre vulnérable, créé un trouble aussi bien pour celui qui la dit que celui qui la reçoit, pour nous la demande « Touche moi » renvoie aussi bien au toucher physique, qu’au toucher du cœur.
Pour ses 20 ans, le Festival Écritures des Amériques a tenu toutes ses promesses : faire vivre et ressentir la littérature et les arts dans cette superbe adaptation radiophonique de la Migration des cœurs de Maryse Condé, en hommage à l’une des fondatrices du Festival.
Comme c’est maintenant le cas depuis plusieurs années, le Lycée Gerville Réache a pris part au Festival Écritures des Amériques mais sous une forme un peu particulière, en raison de la crise sanitaire. Faute de pouvoir maintenir les rencontres ou ateliers d’écriture avec des auteurs contemporains, les organisateurs du festival ont ainsi offert à nos élèves et étudiants la possibilité d’assister à une œuvre novatrice avec l’adaptation sonore du roman La Migration des cœurs de Maryse Condé.
En partenariat avec la Mairie de Basse-Terre, les étudiants CPGE AL1 et leurs enseignantes, Mme EL AJME, CRUCES et OTVAS, ainsi que les élèves de 2nde 1 et leurs enseignantes Mme MODANESE et KUESSAN ont ainsi pu se rendre à l’Auditorium Jérôme Cléry ce vendredi 4 décembre pour y découvrir cette véritable création littéraire du metteur en scène Eric Bouvron, en présence également de collégiens de Joseph Pitat (Basse-Terre) et des classes à horaires aménagées théâtre de Richard Samuel (Gourbeyre).
Les trois comédiens Viktor LAZLO, Laura CLAUZEL et Jean-Erns MARIE-LOUISE ont restitué avec brio cette dédicace aux Hauts de Hurlevent de la romancière anglaise Emily Brontë, magnifiée par le son du graj réorchestré par le musicien Romain Trouillet.
Le spectacle de 50 minutes environ a été suivi d’échanges avec le metteur en scène et les comédiens.
Nous vous invitons à découvrir le dossier de présentation de l’adaptation de La Migration des cœurs en cliquant ICI et de prolonger le plaisir en lisant l’article de l’étudiante CPGE AL1, Énide FANCHONE :
1848, marque officiellement l’abolition de l’esclavage.
Une abolition qui n’a su gommer les couleurs, et unir définitivement les cœurs.
Maryse Condé dans son œuvre, La Migration des cœurs, peint l’histoire de nos sociétés antillaises marquées au fer rouge par l’esclavage.
Ce roman constitue une réécriture d’une œuvre majeure de la littérature anglaise : Les Hauts de Hurlevent d’Emily Brontë.
En cinquante minutes, l’adaptation radiophonique d’Eric Bouvron, nous a fait voyager d’îles en îles, de Cuba à la Guadeloupe …
Une ouverture musicale bouleversante, sous forme de graj, mêlant déclaration d’amour et cris de douleur.
Un spectacle innovant adaptant une œuvre qui mixe réalisme, à travers des références historiques, et fantastiques avec des manifestations magico-religieuses.
Interprétée par L. CLAUZEL, V. LAZLO, J.E MARIE-LOUISE, cette prestation à la fois haute en couleurs et en teneur poétique, nous transporte au cœur de l’univers post-colonial.
De Pointe-à-Pitre à Basse-Terre en passant par Marie-Galante, nous découvrons l’univers de la société de plantation et des révoltes ouvrières dans la Guadeloupe du début du XXème siècle.
Un univers teinté de malédictions, de quimboiseurs et de sorcellerie …
La Migration des cœurs est aussi l’histoire d’une passion, celle de Razié, « homme de couleur », et de Cathy, fille de békés ; deux êtres appartenant à des mondes opposés.
Une œuvre tissant le fil de la destinée maudite des descendants de Razié et de Cathy.
Le récit d’une passion impossible ; entre le cœur et les conventions sociales …
Cathy, choisira de renoncer à sa flamme et d’épouser Aymeric, comme elle, fils de békés.
Des années plus tard, Razié, revient riche à sa terre natale.
Irmine, sœur d’Aymeric s’amourachera de cet « homme de couleur », pour le plus grand malheur de sa belle-sœur.
Fut-ce-t-il riche, il reste toujours un nègre, pour paraphraser Aimé Césaire – Nègre je suis, nègre je resterai : un cruel résumé de la réflexion de Cathy qui illustre la pensée raciste de l’époque.
Mais est-il revenu par amour ou par vengeance ?
La Migration des cœurs, alliant fiction et Histoire ; un chef-d’œuvre à découvrir …
Vendredi 4 décembre, lors de la récréation du matin, un groupe d’élèves et étudiants éco-délégués ont décidé de se mobiliser en organisant une opération de sensibilisation et de collecte au profit d’AFM Téléthon.
Dans la cour des manguiers du lycée, l’opération a d’abord débuté en musique avec les 4 étudiants CPGE de la chorale (Christopher AURELA, Chloé COLBAC, Melvin JOSEPH, Oliver OXYBEL) qui ont interprété le titre Human nature de Mickaël Jackson.
La récréation solidaire s’est ensuite poursuivie avec un quiz proposé à tous les élèves présents dans la cour. Animé de main de maître par l’étudiante Maiwen DUFOUR-GERARD, 7 questions ont été posées autour du Téléthon, ses objectifs, ses actions et les maladies rares. Les bonnes réponses se sont vues récompensées d’un prix offerts par nos partenaires que nous remercions par la même occasion : CTM DEHER, Guadeloupe Ceramik’Art, Épicerie fine de Saint-Félix du Gosier.
Enfin, pendant toute la récréation, une équipe d’élèves et étudiants très organisée a vendu des salés et sucrés qu’ils avaient eux-mêmes préparés. En à peine 15 minutes, 426€ ont ainsi été collectés au profit du Téléthon.
La 16ème édition du festival international du Film d’éducation, organisé par le CÉMÉA, est accessible gratuitement en ligne à compter d’aujourd’hui et ce jusqu’au 6 décembre à l’adresse
Jeudi 19 novembre, dans le cadre du projet porté par le Lycée Gerville Réache et l’association Wi’anArt visant à développer les mobilités actives dans Basse-Terre, un groupe de 9 étudiants volontaires de BTS MCO 2ème année et leur enseignante, Mme Sandrine MARY, ont participé à une table ronde, en présence de nombreuses personnalités et spécialistes des questions d’urbanisme et de mobilités :
Photo de Paul Surdin
Les étudiants en Management Commercial Opérationnel ont d’abord pris part à une visite guidée de la ville de Basse-Terre, en petits groupes, conformément au protocole sanitaire.
Photo de Paul Surdin
Une fois au Lycée Gerville Réache, les premiers échanges ont porté sur les questions liées aux commerces, à l’urbanisme commercial et à la circulation dans le centre de Basse-Terre (zone de chalandise, stationnement, piétonisation…).
Au fil des échanges, le débat a été élargi aux questions portant sur l’identité de la ville de Basse-Terre et ses perspectives de développement : aménagements du centre-ville, gestion des dents creuses et création de zones de stationnement ou d’espaces végétalisés, aires de promenade et de détente…
Les échanges ont été vifs et cela a permis d’entendre la voix de jeunes et futurs professionnels dans le secteur du commerce. Les élus de la ville de Basse-Terre ont répondu très favorablement aux différentes propositions tandis que les représentants de la DEAL Guadeloupe ont apporté leur regard de spécialistes de l’urbanisme et du paysage urbain.
Nous remercions très sincèrement tous les participants à ce beau moment d’échanges. Nous espérons que cela augure d’une forte contribution de la jeunesse dans le devenir de la ville de Basse-Terre.